La femme de mon employé, partie 3
Datte: 28/05/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... dans mon dos, chose qui m’excite énormément, et sa chatte se serre de plus en plus autour de ma queue. Elle semble se contenir… - Laisse toi aller… pas que j’aime pas qu’on me griffe, mais j’aime encore plus entendre une femme jouir… Elle se laisse alors envahir par son orgasme et je finis par jouir à mon tour. Je me laisse rouler de côté et la prends dans mes bras. Je reste silencieux et elle s’endort dans mes bras. Le matin, je me réveille dans son lit vide. Je regarde ma montre : 11h45. Je souris comme un imbécile en repensant à la nuit qu’on a passé. Je finis par me lever. Et Rosi se réveille au même instant. Je vais la chercher. En arrivant dans la cuisine, je trouve un petit mot de Julie. ‘’ je suis partie courir. La petite a mangé, elle fait la sieste. Si y a quoique ce soit, appelle moi.’’ Tout à ma joie, je décide de faire plaisir à Julie en lui préparant à manger. - Allez , viens ma puce, on va faire à manger à ta maman. Alors que j’allume la plaque de cuisson, mon téléphone sonne. Je monte avec le biberon de la petite pour décrocher. Je le lui donne dans mes bras pendant que je parle avec Stéphane qui m’appelle pour savoir s’il peut prendre une journée de congé le lendemain, il doit conduire sa sœur à l’hôpital. - Ouais, pas de souci Steph, on va gérer. - Merci Thomas, c’est cool. - Et au fait, dis moi, t’as appelé Oriana ? - Oui, et je comprends vraiment pas pourquoi tu n’as plus envie de te la taper… mais c’est pas moi qui vais m’en plaindre, ça me donne ...
... l’occasion d’en profiter… - Je t’expliquerai pourquoi… tu as raison d’en profiter, elle en vaut la peine. Sois juste pas un salaud comme j’ai pu l’être avec elle parfois… si elle s’attache à toi et que c’est pas ce que tu veux, arrête tout de suite. - Ça marche… Je raccroche et redescends dans la cuisine. J’arrive à la moitié des escaliers quand le détecteur de fumée se déclenche. Je descends encore quelques marches et constate que la fumée vient de la poêle que j’ai mise à chauffer avant de téléphoner. Je remonte les marches 4 à 4 et emmène Rosi avec moi sur la terrasse dont l’accès se fait par ma chambre. La poêle attendra, il n’y a aucun risque que ça prenne feu, à part une cuillère d’huile, il n’y avait encore rien dedans. Mais je fais vraiment un piètre cuisinier. Quelques minutes plus tard, j’entends la voix paniquée de Julie. - Thomas ? Thomas ? Rosi ? Je m’apprête à lui répondre quand elle entre dans ma chambre. - Ça va ? Vous n’avez rien ? Demande-t-elle. - Non, t’inquiète. Je suis tout de suite sorti avec elle quand j’ai vu la fumée. - Qu’est-ce qu’il s’est passé ? - J’ai voulu faire à manger… je crois que je ne suis pas doué. - Je vais aller réparer tes bêtises. Reste encore un peu là avec Rosi, le temps qu’il y ait moins de fumée à l’intérieur. Elle ressort et j’installe sa fille sur mon lit. Je m’allonge à côté d’elle, mais elle s’endort rapidement. Au bout d’un moment, Julie nous rejoint. - Je vais la mettre dans son lit. Tu lui as donné son biberon de midi ? - Oui, ...