1. Miroir. Ô mon miroir !


    Datte: 28/05/2018, Catégories: fh, fhh, hplusag, jeunes, couple, cocus, boitenuit, miroir, Oral double, Partouze / Groupe jouet, confession, Voyeur / Exhib / Nudisme

    Je n’imaginais pas parler de mon aventure mais ce que j’ai lu de « ViolaFleur » sur ce site m’a fait réfléchir. D’accord, ce que j’ai vécu est bien moins fort qu’elle et son compagnon mais d’une certaine façon nous avons un point commun. Un miroir ! Quoi de plus banal qu’un miroir ! Ma logeuse m’avait dit que cela agrandissait la pièce et apportait de la lumière. C’est vrai, mais pas que… Le studio qu’elle me louait était très bien agencé et c’est vrai que les deux miroirs, dans le salon et dans la salle de bain donnaient une impression de volume. J’étais le plus heureux des étudiants. La maison où je louais était sur une ligne de tram avec une liaison directe à la Fac. Le loyer n’était pas donné mais incluait une liaison internet illimitée. Ma logeuse, plutôt sympa m’avait tout de suite mis à l’aise par un : « Vous pouvez recevoir qui vous voulez, du moment que vous ne fassiez pas trop de bruit. » Le « J’ai été jeune moi aussi » qui accompagnait cette remarque était souligné d’un sourire. Vous ne pouvez pas savoir le nombre de propriétaire qui voudrait que vous viviez en « moine » sous leur toit. Ils sont restés figés sur un modèle qui date du siècle précédent ! Bref tout allait bien. J’étais installé depuis quatre mois. Mes études me plaisaient, mes partiels positifs et tout le reste aussi. Les copains mais surtout les copines. On a beau dire que nous les jeunes sommes très libres, la vraie liberté arrive lorsqu’on quitte ses parents. Étudiant est une position rêvée. Pour ...
    ... les filles surtout. Elles peuvent laisser leur vraie nature s’exprimer. Personne pour fixer des bornes. Donc tout cela pour vous dire que je recevais beaucoup chez moi et qu’en effet ma proprio ne m’a jamais rien dit. Pour monter dans mon studio, comme je devais passer par son entrée pour atteindre l’escalier, il m’arrivait de la croiser et si j’étais avec une « Amie » je remarquais juste que le « Bonjour » et l’éventuel « Bonne soirée » ou « Bonne journée » semblait empreint de bienveillance. Jusqu’à ce jour où : ma gourmette est tombée derrière une commode. Elle reste coincée entre le mur et le fond du meuble. Je le tire à moi pour la libérer et elle tombe sur le sol. Je la récupère mais découvre une clé. Une clé bien simple, comme celle qui me permet de fermer la porte du studio. Je l’essaye mais elle ne marche pas. L’autre solution c’est la porte qui donne dans la chambre d’à côté. Elle a toujours été fermée bien sûr et je sais, que c’est une chambre transformée en débarras. Je l’essaie. Elle fonctionne. La porte s’ouvre sans bruit. Petite pièce sombre dont le volet et les rideaux sont tirés. Quelques cartons, en effet, une grande armoire, un lit contre un mur et un grand fauteuil. Fauteuil étonnamment au centre de la pièce tournant le dos au lit pour fixer le mur d’en face. Il fait sombre mais le fauteuil semble comme éclairé. Je fais deux pas et je comprends. Cette lueur provient de chez moi. Je m’installe sur ce siège diabolique et découvre mon studio. Ce mur est en ...
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