1. Miroir. Ô mon miroir !


    Datte: 28/05/2018, Catégories: fh, fhh, hplusag, jeunes, couple, cocus, boitenuit, miroir, Oral double, Partouze / Groupe jouet, confession, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... prétexte d’une lettre que j’attendais afin qu’elle nous remarque. Elle est donc montée en tenue « de travail ». Mais le polo ne reste pas. Elle le fait sauter par la tête. Le pantalon non plus. La voici en petite tenue. Ses mains peuvent se déplacer sans entraves. Elles sont des guides pour mon regard. Le soutien-gorge est simple, enveloppant mais tout de même souligné par de la dentelle et une fleur cousue à l’échancrure des seins. La culotte est du même acabit. Une main flatte les seins au travers le tissu. L’autre recouvre le triangle qui masque le pubis. Des mains qui semblent indépendantes de leur maîtresse dont le regard est figé sur ce qu’elle voit. De l’autre côté on doit être en 69, position appréciée par Adèle qui me suce et me confie son intimité pour inventaire. Elle n’enlève pas son soutien-gorge, elle tire dessus pour laisser ses seins libres. Des seins qui se tiennent bien droits. Manifestement la bande de tissu repoussée sous les lobes n’est pas suffisante pour produire un tel effet. On dirait une poitrine de star… de star du X… De ces poitrines travaillées par l’homme afin que d’autres hommes en profitent. Des lobes parfaits. Des aréoles magnifiques. Des tétons saillant. C’est beau et surtout les deux mains caressent maintenant ces atours féminins avec une sensualité naturelle. La petite culotte est repoussée. Le tissu est chassé sur le sol. Elle me laisse libre le champ de vision de cette intimité maintenant exposée. Il n’y a pas que les jeunes qui se ...
    ... rasent. Il faut croire que la génération de Vivianne aussi. Pas un poil ne cache cette bosse et ces ondulations de chair. Maintenant, elle se caresse vraiment. La main qui couvre son pubis perd un doigt dans la profondeur de la chatte, cherchant sans doute une humidité qu’il rapporte vers le clitoris. Les autres pointes connaissent maintenant la chaleur d’une paume ou la rigueur de deux doigts qui les pressent. Elle ondule. Son ventre se pousse en avant à la rencontre de cette main qui la caresse. Elle tourne la tête. Je sais, cela doit être lorsque j’ai installé Adèle en appui contre la table et que je l’ai prise en levrette. Un instant elle continue et puis soudain elle se lève. Elle va partir… Mais non, elle ouvre la porte de l’armoire, elle en extrait un sac en tissu pour se retrouver avec un sextoys à la main. Un sextoys rose que je vois mieux maintenant qu’elle revient vers le fauteuil. Un « Rabbit » ! C’est un nom qui m’a toujours étonné pour cet engin. Probablement que le nom de « Lapin » provient de cette excroissance qui se termine avec deux languettes souples qui peuvent faire penser, avec de l’imagination, à des oreilles de lapin. Un « Rabbit » dont elle gobe la grosse tige, le suçant comme un sexe d’homme. Mais aussi qu’elle pousse sur son clitoris alors qu’il me semble entendre la vibration. Quelques secondes de ce petit jeu qui doit l’exciter encore plus car elle se le glisse dans la fente, poussant au mieux les oreilles du lapin vers son bouton. C’est alors une très ...
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