Miroir. Ô mon miroir ! - Histoires de Sexe

Miroir. Ô mon miroir !

... celui qu’elle porte laisse le passage à ses tétons et devait fournir une vision érotique de ces deux pointes poussant le tissu de la robe. La culotte est vraiment de pute. Peu de voilage mais le peu qui reste n’existe que pour attirer l’attention sur la fente qui s’aligne sur une autre fente. Un des hommes est justement à genoux pour tirer sur la lingerie. — Putain, quel cul tu as ! dit celui que je reconnais pour Éric. C’est drôle, même prénom que mon copain. Plus âgé et pourtant un air de ressemblance. — La Salope… Regarde Marc, elle a un Plug dans le cul. L’autre homme s’agenouille et constate qu’en effet, Vivianne se penchant un peu pour leur faciliter la vue, un disque brillant obture l’anus. — Tu t’es trimballé toute la soirée avec ton cul occupé. Mais il a raison ton mari, t’es une vraie salope. Elle sourit. Les hommes ne le voit pas, mais moi je remarque qu’elle jette des regards discrets vers moi, enfin je veux dire vers son mari caché derrière le miroir. Un sourire complice. Est-ce que c’est lui qui lui a demandé de s’équiper ainsi ? Ou bien, c’est elle qui en toute discrétion l’a fait pour lui en faire la surprise ? Elle sourit mais, alors que les deux hommes sont debout face à elle, chacune de ses mains trouve le chemin de la braguette. — Salope, oui, mais Messieurs, encore faut-il du répondant. Ce geste et ces paroles claquent comme un défi. En deux mouvements les deux hommes se déshabillent et tous deux affichent déjà une belle érection. — Viens nous sucer, ...

... dit l’un deux alors qu’il s’installe sur le lit, bientôt suivi par l’autre. Deux belles queues en majesté. Vivianne fait connaissance avec la première par un premier baiser alors qu’elle s’empare de l’autre avec une main. Elle en suce une. Elle en branle une autre. Elle passe de l’une à l’autre s’attardant longuement à chaque fois. Sa bouche est un gouffre. Chacune des bites en découvre la profondeur. La langue court le long des sucettes de chair. Les couilles sont léchées et gobées. J’avais découvert ma logeuse se caressant. Je la vois en femme gourmande. Les queues lui déforment la bouche lui donnant un aspect vulgaire. Elle ne regarde plus vers le miroir, cela serait trop évident. Non, comme une vraie suceuse, c’est le Mâle qu’elle pompe qui est le destinataire de ce regard pervers et provocateur. Mais il n’y a pas que l’image, bien que ce disque brillant qui sort du cul de la femelle apporte une touche, s’il en fallait une, de chienne salope et cochonne. Il y a le son. Les hommes qui ont compris la leçon ne se privent pas de commenter ce que Vivianne leur fait. Ils commentent à destination du mari mais nul ne doute que la surenchère dans leur propos, ne les excite aussi. — Gobe-moi, salope… Tu suces comme une pute en gorge profonde… T’aimes ça… Si ton mari te voyait… Je vais te juter dans la bouche… T’aimes ça, le foutre, hein… Celui de ton mari, tu dois le boire… Hein ? L’homme tire sur la tête pour libérer sa queue et rendre la femme libre de répondre. Elle ne s’en prive ...