1. Miroir. Ô mon miroir !


    Datte: 28/05/2018, Catégories: fh, fhh, hplusag, jeunes, couple, cocus, boitenuit, miroir, Oral double, Partouze / Groupe jouet, confession, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... comprendre. Il attire sa partenaire sur lui, l’obligeant à s’allonger. Marc alors fait plus que jouer avec le disque brillant. Il le tourne et lentement le tire. La masse métallique brille à la lumière, comme neuve et nous apparaît dans toute sa largeur. Tout le monde a compris. Vivianne bien entendu, qui, en attirant deux hommes chez elle, leur offrant sur un plateau un anus dilaté ne peut ignorer leur dessein. C’est grandiose. Magnifique. La bite de Marc n’est sans doute pas plus large que le plug, mais en tout cas bien plus longue et lorsqu’il la pousse dans l’anus encore baillant, la femelle possédée ainsi ne cesse de gémir et d’accompagner cette enculade de mots sans suite et déformés comme doivent l’être ses entrailles remplies par ses partenaires. — Chéri. Chéri. C’est bon. C’est bon. Ils me prennent en sandwich. C’est fort. C’est… Ahhhhhh Vivianne essaye de jouer son rôle de femme salope qui excite son mari. Elle le fait d’autant mieux que très vite elle est submergée par ses amants. Elle n’est qu’une chose entre leur bras, crucifiée par des pieux de chairs, humides et vivants. Ils se pensaient très forts, maître d’eux même, contrôlant leurs actions et leurs paroles, mais ils ont dépassé ce stade. Trois furies. Trois bêtes. Animaux primitifs dont l’éducation s’est absentée l’espace de cette baise. Ils gémissent. Ils crient. Ils s’encouragent. Ils se démènent. Leurs mouvements sont si forts que parfois une queue apparaît mais c’est un bâton dont la tête chercheuse ...
    ... est parfaite pour retrouver le chemin du plaisir. Impossible de dire qui jouit en premier. Vivianne ne cesse de « brailler » sa jouissance. Jouissance du con. Jouissance du cul. Lorsque Marc éjacule, c’est après avoir enlevé sa capote et en visant sur les reins qu’il vient de quitter. Voilà. Ils reviennent sur terre. Étrangement ils oublient leur attitude, vulgaire, perverse, obscène ainsi que leur vocabulaire de putain et maquereaux pour qu’un mari solitaire soit excité. Juste un « n’hésite pas à nous contacter » et un « bonjour à ton mari » qui ne manque pas de sous-entendus. L’écran devient noir. Un regard sur ma logeuse. Elle dort. Je crois qu’elle s’est endormie avant le début du DVD. Elle ne s’est pas vue et c’est peut-être mieux. Sa tête est sur le côté. Sa robe remontée. Le fauteuil lui fait un bien piètre repos. Je ne peux la laisser ainsi. Après avoir rangé le DVD et jeté un dernier regard à quelques annotations de ce mari si partageur, j’emmène la boîte dans la chambre. Sur le lit une nuisette attend sa propriétaire. Je fais ni une ni deux, je prends la femme dans mes bras. Elle s’accroche à mon cou, instinctivement. Je la dépose sur le lit, lit conjugal qui a dû en voir et entendre des choses. Mais je ne peux la laisser ainsi, dans cette robe qui ne sera plus qu’un chiffon demain. Je fais ce qu’il faut et lorsque je quitte la chambre, Vivianne est dans son lit avec sa nuisette et ses vêtements bien rangé sur un siège. Dire que je n’ai pas été troublé par ce corps ...
«12...121314...17»