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Miroir. Ô mon miroir !
Datte: 28/05/2018, Catégories: fh, fhh, hplusag, jeunes, couple, cocus, boitenuit, miroir, Oral double, Partouze / Groupe jouet, confession, Voyeur / Exhib / Nudisme
... maquillée et coiffée. Même sa robe est parfaite. Assez moulante pour la mettre en valeur. Mais pas trop pour la faire « Pute ». D’autres femmes portent des tenues provocantes et cela leur va bien. Mais je sais aussi que sous la robe, elle ne porte rien. Vivianne est une bourgeoise qui vient se délurer et c’est ce qui attire les hommes. Moi, on m’invite aussi. Personne ne s’étonne que nous soyons ensemble, pourtant presque quarante années nous séparent. Mais elle fait si jeune ! Nos partenaires deviennent plus audacieux. Si elle passe pour une bourgeoise, moi, je dois passer pour un jeunot qu’elle éduque et que d’autres peuvent en profiter. Bien sûr que j’apprécie tous ces hommages. D’ailleurs je bande assez pour que celle qui me caresse découvre le résultat de son œuvre. Mais je n’arrive pas à quitter Vivianne des yeux. Elle aussi et nos regards se parlent. Elle est si belle ! Et puis une envie subite. J’abandonne ma cavalière, j’arrache ma proprio des bras qui l’enlacent. Elle ne proteste pas. Je l’entraîne vers cette porte qui, elle me l’a expliqué, conduit aux lieux secrets ou câlins et plus, s’échangent. Dans le sas qui sert de vestiaire chacun se déshabille sans un mot. Elle sourit alors que je m’approche d’elle et que pour la première fois nos corps se touchent. Je connais tout d’elle. Elle connaît tout de moi. Pourtant c’est comme une découverte. Ses seins qui se pressent contre mon torse. Son pubis qui moule ma queue. Et nos lèvres ! Et nos langues ! Et ce premier ...
... baiser d’une fougue non retenue. — Viens. C’est elle qui m’entraîne maintenant. Un rideau repoussé. Un couloir avec des portes. Des pièces, des lits, des couples, des gémissements, des cris. Une grande pièce avec un lit circulaire gigantesque. Deux, non trois couples l’occupent déjà. D’autres regardent. Elle s’allonge. Je me précipite pour la caresser, la sucer, la lécher. Enfin ma langue connaît le goût de sa chatte. Enfin mes lèvres découvrent cette pointe si timide. Que c’est beau de l’entendre. Je sais que c’est elle et pourtant d’autres femmes montrent aussi leur plaisir. Et puis elle se lève. Elle me pousse sur le lit. C’est à elle de me découvrir. Je ne me connaissais pas mes tétons si sensibles, mon nombril si profond. Pour le reste, c’est une bite tendue comme un arc qu’elle enveloppe et engloutit. Putain, qu’elle suce bien ! Elle me gobe presque entièrement. Il suffirait d’un rien pour que je crache dans sa gorge. Plus tard ! Pour la première fois, je veux la posséder. Je veux en faire ma maîtresse avant d’en explorer la perversité. Je la repousse. C’est à moi de la guider sur le lit. J’attrape une capote de ces corbeilles qui en contiennent des boîtes entières. Je déchire l’enveloppe. Je vais m’en couvrir. — Non. Viens. Je veux te sentir totalement. J’ai confiance. Moi aussi j’ai confiance. Je sais qu’elle se protégeait toujours. Ma queue glisse. C’est un pieu ardent qui se frotte à des braises. Je suis en elle. Je reste un instant, savourant notre union parfaite. Je ...