1. Tromperies sur internet


    Datte: 20/07/2017, Catégories: fh, extracon, collection, vengeance, facial, Oral pénétratio, fsodo, confession, extraconj,

    ... les dépenses de la maison, son salaire lui servait seulement d’argent de poche. Bon, ce n’était que le minimum syndical, mais tout de même… Elle ne me rendait aucun compte de son emploi du temps, de ses activités professionnelles ou extra-professionnelles. Mon travail exige une grosse implication, beaucoup de dossiers à traiter, les audiences, je ne peux pas me permettre de négliger une affaire, il en va non seulement du bon aboutissement de celles-ci mais aussi de ma réputation. Il y a beaucoup de temps à passer dans la recherche de jurisprudences et il ne m’était pas possible de trouver la sérénité nécessaire à la maison, à cause de l’ambiance détestable qui s’y était installée. Je restais donc fréquemment à l’étude jusqu’à 22 ou 23 heures. Quand je rentrais je ne trouvais rien de préparé pour le repas, elle avait dîné avant moi. Combien de fois me suis-je contenté d’une boîte de sardines avec du pain. Elle était couchée devant la télé de la chambre et ne m’adressait même pas un bonsoir. Je prenais tout ça sur moi et n’osais même pas lui faire de remontrances sous peine de recevoir une flambée de reproches ou de cris qui me détruisaient progressivement. Un soir, après une dispute virulente toujours pour un sujet sans intérêt, elle se rhabilla, se maquilla et me dit qu’elle allait faire un tour pour se calmer. Je lui demandai où elle allait, elle ne me répondit pas. Devant mon insistance, elle finit par me dire qu’elle allait chez une de ses copines, Nathalie. J’attendis ...
    ... son retour, anxieux. Lorsqu’elle revint, il était 2 h 30, elle se déshabilla et se coucha. Je vis de suite que son maquillage avait disparu. Je lui demandai des explications, elle me répondit qu’elle n’avait pas à se justifier et qu’elle faisait ce qu’elle voulait. Je me rapprochai d’elle, j’étais fou de colère et, les yeux dans les yeux, j’exigeai une dernière fois de savoir d’où elle venait. Elle sourit et me regardant fixement, elle me dit d’aller me faire foutre. Je lui intimai l’ordre de m’avouer si elle avait passé la soirée avec un homme. Alors, elle me répondit qu’elle n’avait aucune autorisation à me demander et que si elle avait envie de baiser, elle baiserait. C’en était trop. Je ne suis pas un homme violent, loin de là mes amis, mais ce soir-là je craquai et lui donnai une grosse gifle. S’ensuit une bagarre où, dans la colère, je faillis l’étrangler. Puis me calmant d’un coup, je m’assis sur le bord du lit pâle, figé comme une statue. J’avais honte de moi, j’avais fait ce que j’ai toujours détesté, ce que j’ai toujours reproché à d’autres, je l’avais battue. Je ne lui avais pas bien fait mal et j’avais moi aussi reçu des coups. Mais j’avais le sentiment de m’être rabaissé et d’avoir franchi la ligne jaune du début de la déchéance. Elle se rhabilla et partit sans dire un mot. Je compris ce soir-là que tout était terminé entre nous. Où était-elle ? Je ne le savais pas, chez sa mère sans doute. Le lendemain, elle porta plainte pour coups et blessures et, bien que ...
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