Tromperies sur internet
Datte: 20/07/2017,
Catégories:
fh,
extracon,
collection,
vengeance,
facial,
Oral
pénétratio,
fsodo,
confession,
extraconj,
... l’affaire fût classée, je fus convoqué à la gendarmerie pour fournir des explications. Tout se sait, à Maubeuge, et ma réputation en prit un coup, moi qui étais considéré comme un homme calme et posé… Les semaines passèrent sans que je sache vraiment ce qu’elle faisait. J’avais entamé une procédure de divorce et seul chez moi durant de longues soirées, je ressassais en boucle tous ces événements dans une profonde tristesse. Puis, petit à petit, je repris des forces et décidai de tourner la page. Après tout, la vie continuait et il y avait d’autres femmes. Je m’en voulais juste de ce gâchis et de tout ce temps perdu. Il me fallait une femme, mais où la trouver ? J’avais vite fais le tour de mes connaissances, mes amies étaient toutes mariées ou en couple. Sortir, draguer en boîte ? Pas mon style. Bien sûr, il m’arrivait de traiter des affaires de divorce et d’être donc en rapport avec des femmes seules, mais c’était dans le contexte professionnel et je ne voulais pas mélanger les genres. Alors, je décidai de me brancher sur internet sur un site de rencontres. Je remplis une fiche où je pris le soin, par discrétion, de modifier certains éléments de mon identité. Je dis que j’étais de Valenciennes, je me rajeunis de cinq ans et ne mis pas de photos. Pour le reste, je préférai la vérité. Je trouve en effet stupide le fait de créer un personnage fictif idyllique, souvent correspondant à celui que l’on aurait voulu être. Ça ne mène qu’à la déception lors d’une rencontre et une ...
... rencontre qui débute par une déception ce n’est pas du meilleur augure pour la suite des événements. Je passais beaucoup de temps là-dessus, épluchant les fiches, envoyant des messages, le plus souvent sans réponses. Il m’arriva à quelques reprises d’obtenir des rendez-vous mais ce fut à chaque fois sans suite. Entre-temps, je m’étais fais une bande d’amis sur internet avec lesquels je dialoguais de façon régulière. Il y avait des hommes avec lesquels nous échangions des informations et des commentaires sur nos conquêtes. Parmi eux, Serge. Je ne l’avais jamais rencontré mais nous étions devenus intimes car nous nous racontions absolument tout de nos conquêtes respectives. Il y avait une réelle complicité entre nous. Plusieurs fois, nous nous étions filés des infos sur des femmes que nous avions connues et avec lesquelles ça n’avait pas ou plus marché, pour nous les refiler et je dois dire qu’à plusieurs reprises, ça avait fonctionné. J’étais tellement branché là-dessus que j’en négligeais même mon travail. C’était devenu une addiction. Un soir, alors que j’étais là, devant mon écran à passer et repasser des fiches, il était tard et je faisais ça presque machinalement, je fis un bon sur mon fauteuil. Elle était là ! C’était bien elle, souriante et détendue sur cette photo. J’éteignis de suite mon ordinateur de peur qu’elle m’identifie. Puis au bout d’un moment, je réalisai qu’elle ne le pouvait pas, il n’y avait pas de photos de moi et j’avais suffisamment noyé le poisson pour ...