Aparté
Datte: 30/05/2018,
Catégories:
hh,
hplusag,
campagne,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
hdanus,
... va-et-vient de plus en plus rapides. Ses lèvres venaient cogner contre mon pubis. Pour éviter les désagréments au fond de sa gorge, il emmenait mon nœud contre ses joues qui, tour à tour, se distendaient sous la poussée. La jouissance approchait. Un bref instant de lucidité. Je me dégageai. Je l’attirai sur le lit. Je voulais lui rendre la pareille. Son cuissard avait disparu. Son sexe, s’il n’était pas d’une longueur ni d’un volume conséquent, présentait une raideur qui le rendait tout à fait opérationnel. Mais quand je me laissai glisser le long de son corps pour le prendre ne bouche, Jean-Charles se déroba. — Pourquoi ?— Laisse-moi te donner du plaisir ! C’est de cela que j’ai envie.— Et pourquoi je ne goûterais pas ton sucre d’orge ?— Parce que je suis très sensible et que la fête serait finie.— J’ai une idée… Je m’allongeai à son côté de façon que nous soyons tête bêche et amenai ma queue face à son visage. Il ne se fit pas prier. Les mains bien agrippées à mes fesses, il reprit les va-et-vient, les agrémentant de mouvement de langues autour de mon gland. Respectant sa volonté, je ne touchai pas son pénis. Cependant rien ne m’empêchait de déposer des baisers humides tout autour, de suçoter ses couilles, de violer son nombril avec ma langue, de griffer l’intérieur de ses cuisses. La courte interruption que j’avais provoquée avait fait tomber provisoirement mon excitation. Mais ces nouvelles caresses autant subies que prodiguées firent rapidement remonter la température. ...
... Mon thermomètre allait exploser incessamment sous peu. Au moment où ma jouissance éclata, j’avalai sa tige gonflée et la suçai comme un fou. Le résultat ne se fit pas attendre. Plusieurs giclées conséquentes m’emplirent la bouche alors que la sienne subissait le même sort. Ne sachant que faire de ce liquide chaud et visqueux, n’ayant aucune envie de libérer sa petite bite, j’avalai le tout. Y’a que le premier pas qui compte, en l’occurrence la première goutte. Il en fit autant. Et nous continuâmes jusqu’à assèchement de la source. Après cette première joute, plus moyen de faire marche arrière, nous avions franchi le Rubicon. Sans prendre la peine de nous habiller, bras dessus, bras dessous, direction la cuisine. Déjeuner frugal avec ce qui était à notre disposition : du pain, de la tomme de Savoie, des yaourts et quelques fruits. Nous vidâmes pour l’occasion une bouteille d’Altesse. Le repas fut silencieux. Pas un silence oppressant, plutôt un silence complice, sensuel. Des petits gestes tendres, des échanges de regard. Je n’arrivais pas à la considérer comme un garçon. Tout dans sa gestuelle l’écrivait au féminin. Sans doute mon imagination (pourtant guère fertile) qui me jouait des tours car il n’avait rien d’une grande folle. Quand nous eumes achevé nos pauvres agapes, il prépara le café qu’il nous servit à l’extérieur au bord du bassin. Il s’éclipsa un instant. Il revint avec un matelas de piscine. Il s’agenouilla et entreprit de le gonfler. Je devenais complètement barge. ...