1. Aparté


    Datte: 30/05/2018, Catégories: hh, hplusag, campagne, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral hdanus,

    ... transat. La journée avait été chaude et le thermomètre, au soleil, dépassait encore sans doute les 30°. Mon jeune invité surprise n’était vêtu que d’une paire de lunettes solaires et d’un cuissard encore mouillé qui le moulait étroitement. Ce n’est pourtant pas ce dernier qui attira d’abord mon regard. Quand je mis le pied sur la terrasse, une chope de bière mousseuse à la main, je restai interdit devant le spectacle de son corps offert aux rayonnements du soleil. Sa peau prenait une carnation particulière. Je compris enfin le sens de l’expression peau de pêche. Comme ce matin, j’avais envie de toucher, de vérifier que je ne délirais pas. Je m’aperçus que Jean-Charles avait remonté ses lunettes et qu’il me regardait. Je ne saurais pas comment l’expliquer mais ce regard n’était pas ce qu’il aurait dû être. Ce n’était pas le regard interrogateur du gars qui se demande ce que j’avais bien pu constater d’anormal chez lui. Non, il me regardait et son visage, très expressif, disait : — N’aie pas peur ! Regarde-moi si tu en as envie ! Enjoy ! Ce que je faisais. Mes yeux avides parcouraient ce corps, des pieds à la tête. Subitement, je sus ce qui rendait cette peau si particulière : l’absence totale de pilosité. Pas un poil ! Qu’il n’en ait pas sur le visage, à son âge ce n’était guère étonnant mais qu’il n’en ait nulle trace sur le torse et surtout sous les bras… Je ne suis pas particulièrement poilu. J’ai connu des hommes peu poilus mais à ce point, il n’y avait qu’une hypothèse ...
    ... : épilation. À son regard, je compris qu’il avait suivi mon raisonnement. Il hocha la tête l’air de dire « eh oui ! » Dégagée de ses oripeaux, sa silhouette se révélait harmonieuse. De longues jambes à la musculature à peine marquée prolongées de hanches étroites. Un ventre plat sans abdos hypertrophiés, comme chez les bodybuildés azimutés. Sa poitrine, vierge de tout poil, n’existait que par deux tétons engoncés dans leurs brunes aréoles. Tétons dardés vers le ciel… À chaque balayage, j’évitais soigneusement de m’arrêter sur ce que le cuissard cachait en me le montrant si bien. Cependant je ne pouvais ignorer que cette espèce de cylindre, quasiment invisible lors de ma vision initiale, distendait le lycra de plus en plus violemment au point qu’il en écartait du ventre la partie haute. Je ne pouvais plus l’ignorer. J’étais hypnotisé. J’étais fasciné de voir encore enfler cette chose sous la seule influence de mon regard. Soudainement, je pris conscience de ses yeux posés sur moi, je devinai le sourire. Cela suffit pour me libérer et, littéralement, je m’enfuis. Je me réfugiai dans la cuisine, posai mon verre sur l’évier et m’aspergeai le visage d’eau froide. À cette seconde, aucune réflexion, aucune pensée, j’agissais par instinct. La tentation fut la plus forte. Je retournai sur la terrasse. Je m’arrêtai à la porte-fenêtre. Jean-Charles avait délaissé son transat et, accoudé à la balustrade, il regardait dans la vallée. J’avais une vue imprenable sur ses fesses bien prises ...
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