1. dans les caves


    Datte: 31/05/2018, Catégories: Partouze / Groupe Masturbation

    Je revenais de mon footing. Je m’astreignais à cette activité dans l’espoir de perdre un peu de la cellulite qui m’alourdissait les hanches et les fesses. À 46 ans je tentais de lutter de cette façon contre les offenses du temps. À part ce fessier charnu et ses cuisses grasses, j’estimais que le reste de ma personne n’était pas si mal. Plutôt petite, j’avais une poitrine encore présentable qui faisait le délice de mon mari, amoureux de moi comme au premier jour de notre mariage.Je suis une femme fidèle et en 25 années de vie de couple, les coups de canif dans le contrat, se réduisaient à deux aventures, toutes deux avec des collègues de bureau. L’une avait duré le temps d’une soirée arrosée, un pot de départ d’une collègue, et avait été pour ma part un désastre. Mon partenaire aussi ivre que moi ayant eu de grosses difficultés d’érection. L’autre avait été plus satisfaisante et s’était prolongée un petit trimestre jusqu’à ce que nous convenions, que nos vies de famille respectives avaient plus de valeur que nos parties de jambes en l’air dans des hôtels bas de gamme. Je suis donc ce qu’on appelle une femme et mère de famille sérieuse.Ce jour là, le constat sans appel de ma balance m’avait convaincu d’allonger un peu le temps de mon effort et la nuit était largement tombée lorsque je rejoignais la barre d’immeubles ou nous habitons. Les jours sont courts en cette fin d’automne.Je me suis souvenue que je devais réapprovisionner le réfrigérateur en eaux minérales dont nous ...
    ... avions un stock dans notre cave, située au sous-sol. J’y descendis et posant mon pack par terre je refermais la parte de cette cave lorsque la minuterie s’éteignit. Dans le noir total je me déplaçais vers le minuteur le plus proche lorsque je sentis une présence. Presque simultanément mes doigts rencontrèrent un obstacle. C’était un homme plaqué au mur. Je poussais un cri de surprise et de terreur. La lumière se ralluma et je poussais un deuxième cri. L’homme avait le visage recouvert par une cagoule de motard. Il portait un jean et un blouson style aviateur. Sa braguette était ouverte et son sexe pendait à l’extérieur. Stupidement je demandais :- Que voulez-vous ?Il ricana- Ton cul…Je reculais en tentant d’évaluer la distance à parcourir pour atteindre la cage d’escalier lorsque je heurtais un autre obstacle. Je retournais et me trouvais devant deux autres hommes encagoulés. L’un m’interdisait l’accès au couloir menant aux caves individuelles, l’autre bloquait le passage vers l’escalier. Nous étions dans l’espace collectif ou les mamans rangent les poussettes.Je tentais de les raisonner :- Laissez moi partir, ne faites pas de bêtises.- Mais tu vas partir… Après… Quand tu auras été gentille.Un seul parlait, les deux autres se contentaient de ricaner. Ils avaient sorti leurs sexes et se caressaient lentement. Franchement ce n’étaient pas le calibre des acteurs de films porno que nous regardons quelque fois avec mon mari. Leurs queues étaient modestes, et leur allure montrait qu’ils ...
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