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dans les caves
Datte: 31/05/2018, Catégories: Partouze / Groupe Masturbation
... mon jogging tirebouchonné sur mes chevilles, je ne pouvais écarter les jambes pour faciliter l’intromission. Je fléchissais légèrement les genoux en les ouvrant et cela suffit pour que l’autre trouve son chemin. Je le sentis s’enfoncer de toute sa longueur et une onde de plaisir traversa mon corps.J’avais arrêté de sucer la queue qui était encore dans ma bouche, toutes mes pensées tournées vers le membre qui me prenait. Une petite tape sur le crane me rappela à mes devoirs et je me remis à pomper au rythme que l’autre, derrière imprimait. Dans le local régnait un silence seulement troublé par mes bruits de succion et le claquement d’un bas ventre s’écrasant en rythme sur mes fesses. L’individu, derrière moi, accéléra et je sentis qu’il était proche de la délivrance. Je glissais une main entre mes cuisses, m’attardais un instant sur mon clito puis je lui saisis les couilles que je pressais fermement. Cela déclencha son plaisir et il se répandit à longs traits dans mon vagin. Je sentis au travers du préservatif les jets chauds de son sperme qui déclenchèrent chez moi un orgasme soudain et violent. J’eus les jambes fauchées et je serais surement tombée si je n’avais pas eu mes deux points d’appui, un entre mes cuisses et l’autre dans ma bouche…Mes lèvres enserrèrent plus fortement la bite qui occupait ma bouche et le gars prit son plaisir également. Fauché par mon orgasme, je n’avais pas anticipé et c’est dans ma bouche que le gars se vida à longs traits. Je recrachais le ...
... sperme acre sur le sol. Mon tourmenteur, derrière moi retirait son sexe redevenu flasque de ma chatte. Je me remontais à la hâte mon jogging et ma culotte et profitant qu’ils reprenaient leurs esprits, je m’enfuyais dans l’escalier.Une fois dans l’ascenseur, je remis de l’ordre dans mes vêtements et jetais un coup d’œil à ma montre. Tout cela n’avait duré qu’une demi-heure !Lorsque j’entrais chez moi, mon mari était devant la télévision une bière à la main. Mes enfants faisaient leurs devoirs dans leurs chambres. Je me dirigeais vers la salle de bain.- Tu en as mis du temps, remarqua mon mari- Il en faut de plus en plus pour conserver la forme, répliquais-je d’un ton dégagé.Je m’enfermais dans la salle de bain et me regardais dans la glace. J’étais absolument comme d’habitude, avec certes des rougeurs au visage, mais on aurait pu aisément les imputer au jogging. Seul souvenir de ma rencontre souterraine : un filet de sperme s’étirait sur ma veste de jogging sur l’épaule droite ! Souvenir de mon premier agresseur sans doute. Son hypothétique progéniture n’avait pas toute finie sur le béton.Je me déshabillais, mis mes affaires dans la panière à linge sale puis je me brossais vigoureusement les dents ; Enfin, je pris une douche. Je me récurai avec soin. Les scènes de mon agression tournaient dans ma tête, je me voyais prise par derrière tout en suçant, alors je m’offris un petit plaisir solitaire.Je n’ai jamais su qui étaient ces jeunes, s’ils étaient de la cité ou de passage. J’ai ...