1. Ma fille...ma vie


    Datte: 31/05/2018, Catégories: Lesbienne

    Depuis la mort accidentelle de mon mari, il y a maintenant une quinzaine d’années, ma fille, Isabelle, n’arrivait pas à se remettre de cette tragique disparition. Elle pleurait souvent et je devais toujours la consoler pour la rassurer. Nous étions un couple très uni, la naissance de notre fille nous avait donné un bonheur complet. Aujourd'hui, j’ai la quarantaine, j’ai un ami que je vois régulièrement chez lui, hé oui, la vie continue malgré tout. Michel n’était jamais venu chez moi et n’avait jamais vu Isa, j’espérais bien le présenter à ma fille un jour prochain, mais vu ce léger handicap, je repoussais toujours l’échéance.Jusque là, tout paraissait normal et bien non ! Isa faisait des crises de larmes, le soir, en se couchant, elle venait donc se blottir contre moi dans mon lit malgré son âge.La tête sur ma poitrine, une main posée sur un sein, comme lorsqu’elle était toute petite, je l’apaisais en lui caressant les cheveux. Le drame c’est que cela m’amusait et m’excitait en même temps. Je prenais de plus en plus de plaisir à cette situation, de sentir ses doigts jouer avec mon mamelon à travers ma nuisette, à tel point que je mouillais rapidement. Machinalement, je caressais son dos quand, un jour, je n’ai pu m’empêcher de descendre un peu plus bas et de passer ma main entre ses fesses pour atteindre sa fente à peine velue, j’étais très surprise de voir qu’elle était humide, la mignonne prenait du plaisir, elle aussi. C’est, depuis ce jour, que l’envie d’aller plus ...
    ... loin me tentait considérablement.Mais avant d’y venir, j’avais, parfois, avec un léger fond honteux, déjà constaté que mon corps et mes envies s’orientaient peu à peu vers le corps de ma fille à la proximité toujours agréable, mais parfois déclencheuse d’effets d’une libido mal maîtrisée. Je me souviens de cette soirée où elle était très contente de me montrer ses bons résultats obtenus à son lycée. Nous étions enchantées, toutes les deux, de cet événement. Il est des détails, parfois bêtes, mais pourtant à l’origine d’idées érotiques fulgurantes qui ne peuvent être compris des jeunes filles. Cette soirée, en allant se coucher, Isabelle était plus tendre que d’habitude, emballée par son succès scolaire. Elle commença une série de petits câlins qui me paraissaient innocents, mais auxquels j’étais très sensible. Sans protester, je la laissai faire, en lui donnant quelques bisous sur son visage, puis je posai mes lèvres sur les siennes, me rappelant ce que je lui faisais quand elle était toute petite, je pris sa lèvre supérieure entre les miennes, Isabelle passa ses bras autour de mon cou et me serra très fort en me disant :« Maman, je t’aime tellement ! »Cette soirée a clairement été le moment de l’acceptation, au plus profond de moi, que le corps de ma fille m’excitait et créait, en moi, un désir sexuel fort et incontestable. On commença donc ce rituel, dont je savais, secrètement, que ce soir-là, il ne s’orienterait pas comme à l’habitude. Le silence de la pièce, sa légère ...
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