Ma fille...ma vie
Datte: 31/05/2018,
Catégories:
Lesbienne
... respiration, sa nudité donnait une ambiance toute particulière.« Oh ma chérie ! Moi aussi je t'aime..., je t'aime... ! » Lui dis-je, en l'embrassant, pour la première fois, d'un vrai baiser.Et nous voila parties pour une exploration de nos bouches, sa langue fouillait ma bouche pour la première fois. Elle fouillait comme si elle cherchait un trésor enfui. Notre baiser dura plusieurs minutes et mon minou fut trempé en quelques secondes. Ses bras me serraient le cou, son corps écrasait ma poitrine et ses genoux frottaient sur mes cuisses. J’étais prête à jouir tant c’était doux et chaud, je me détachai pour ne pas aller trop loin, mon cœur battait à tout rompre, Je ne bougeai plus, je retins mon souffle, ma fille soupira dans son demi sommeil. Elle était sur moi, comme offerte. Je soulevai doucement le drap pour apercevoir son cul dans la pénombre du lit. Ses hanches se creusaient en une courbe lascive avant de remonter en une pente raide le long de son fessier. Je ne parvenais pas à démêler l'écheveau de mes sentiments où la culpabilité n'était, certes pas, ma première impression.Je quittai ma chemise de nuit, enlevai son baby doll. Nous nous étreignîmes fortement. L’extrême douceur de sa peau m’enthousiasma pour continuer ma descente aux enfers, je lui caressai le dos, la poitrine, accentuai sur ses petits tétons, j’avais peur de la contrarier, mais je n’avais plus honte, mon désir était fort. Je poursuivis vers son bas-ventre, elle se laissa faire, quand mon doigt effleura ...
... son abricot, elle s’est mise à me sucer un sein, je me serais crue dans un paradis, tant la sensation était forte, elle se livrait complètement. Le sexe, entièrement trempé, semblait s’ouvrir sous mon doigt, mais je dus freiner mon ardeur, dorlotant seulement le clitoris.Je tentai d’approcher ma bouche de cette petite merveille, sans désaccoupler la sienne de mon sein. Elle est un peu plus petite que moi, ce qui facilita ma démarche, mes lèvres arrivaient sur la vulve, une odeur envahit mes narines, je léchai, avec gourmandise, ce nectar rare, ma fille mordit mon mamelon, ce qui me donna une petite douleur agréable. Elle écarta, au maximum, ses jambes, je me masturbais, discrètement, en la suçant, quand soudain, Isa fut prise de secousses. Je jouis, à mon tour, d’une façon inconnue pour moi, nous nous sommes endormies ainsi, collées l’une à l’autre. Le lendemain matin, nous nous sommes levées comme si de rien n’était, c’est le soir, au cours du dîner, que j’ai ouvert la conversation sur ce sujet :« Nous avons fait une grosse bêtise, hier soir, je voudrais que tu restes dans ta chambre, ce n’est pas la place d’une jeune fille dans le lit de sa mère ! »Evidemment, elle s’est mise à pleurer de toutes les larmes de son corps, comme une gamine à qui on aurait arraché sa poupée. Ne pouvant la laisser dans cet état, j’ouvris mes bras où elle est venue rapidement se réfugier. Que faire ? Je suis prise au piège, je n’ai pas la force de la repousser, au contraire, je suis attirée par ce ...