1. Vue imprenable.


    Datte: 01/06/2018, Catégories: fh, ff, fhh, hplusag, fplusag, couplus, cocus, voisins, fête, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, Partouze / Groupe échange, confession,

    ... chaleur de Lise. Je le suis. Lui aussi est bien allumé. Pas ivre au point de tituber, mais d’une ivresse qui le rend presque chaleureux. Le temps de trouver une bouteille, le seau à glace, d’extraire une cascade de glaçons et nous revenons sur la terrasse. Les femmes dansent ensemble. Je les regarde. Lui aussi. Je vais aller les séparer, mais il me retient. — Laisse. C’est beau. C’est vrai que c’est beau. La longue chevelure blonde de Lise cache son visage. Sa robe, juste au-dessus du genou, tranche avec celle de Martine, robe de cérémonie. Les deux moulent sans ostentation, mais avec sensualité les deux corps de nos femmes. — La jeunesse et la maturité, ajoute Marc. Nous regardons. Elles dansent. — Si belles ! La fraîcheur de la vraie femme en devenir. La sagesse et l’expérience de la femme qui a vécu ! Il devient poète. Mais il a raison. Ce couple au clair de lune, c’est un concentré de femmes. — Et nous savons toi et moi combien l’une et l’autre sont douces, belles, sensuelles et volontaires. N’est-ce pas ? L’allusion est évidente. Il a raison. Il connaît Lise comme moi je connais sa femme. Je tourne la tête, me privant un instant de ce spectacle, pour découvrir Marc qui me regarde. Son regard parle encore plus que ses paroles. Comment ne pas acquiescer à cette évidence. — Oui, je sais. Son visage s’illumine comme s’il attendait ce « oui, je sais » pourtant bien anodin.Oui, je sais que tu as baisé ma Lise. Oui, tu sais que j’ai baisé ta Martine. Chacun a goûté au fruit de ...
    ... l’autre, à ce qu’il a de plus cher. Mais toi, ta Martine est un fruit qui a déjà désaltéré bien d’autres avant moi, alors que ma Lise est une jeune pousse. — Tu ne veux pas les filmer ? Pour garder un souvenir de cet instant. Il a raison. C’est une évidence. Ce couple soudé. Cette musique si douce. Cet éclairage indirect. Il faut le figer pour l’éternité. Les batteries de la caméra que j’ai utilisée sont toutes à plat, mais il me reste la petite, mon caméscope HD bien plus léger et moins encombrant. En quelques secondes, le couple est centré. Martine me voit et sourit. Lise est dissimulée derrière sa chevelure, mais il me semble voir un bras se raffermir. Pendant quelques secondes, rien ne change et puis je vois apparaître Marc dans le champ. Le couple tourne lentement sur lui-même, indifférent à cet importun. Et puis Marc leur parle. Je n’entends pas, tellement il parle bas, tout en me montrant du doigt. Que leur dit-il ? Je ne sais pas. Pourtant les deux têtes appuyées l’une contre l’autre comme un couple enlacé, se séparent. Un moment, elles me regardent. Lise de ce geste si banal repousse les cheveux de son visage. Elles sont belles, les joues roses, les yeux soulignés, les lèvres pulpeuses d’un rouge vif pour Martine, plus discret pour Lise. Je me rapproche. On aurait dit un signal. Martine pose une main derrière la tête de Lise et je la vois s’incliner comme lorsqu’on veut embrasser. Et c’est ce qu’elle fait. Les lèvres se joignent. Ce n’est d’abord qu’un effleurement, ...
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