Vue imprenable.
Datte: 01/06/2018,
Catégories:
fh,
ff,
fhh,
hplusag,
fplusag,
couplus,
cocus,
voisins,
fête,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
échange,
confession,
... mais Martine devient plus entreprenante. Elle embrasse ma Lise. Le mouvement est sans équivoque et Lise n’est pas insensible. Je le vois et je le filme, à sa façon dont sa tête s’incline, à sa façon de bouger. C’est un baiser, un vrai, un de ceux où les lèvres se frottent, les langues jouent, les salives se partagent. Oui, un baiser où, petit à petit, tout le corps participe, prend connaissance, si ce n’est déjà fait, de celui du partenaire. Un baiser qui déclenche des ajustements, des mains qui ne sont plus des mains de cavaliers, mais des mains de partenaires, des mains exploratrices. — Je ne connais rien de plus beau que deux femmes qui s’embrassent, me susurre Marc à l’oreille. Regarde-les. On pourrait être jaloux. C’est sensuel, pas vulgaire. Je ne réponds pas. Même si le micro est directif ma réponse serait enregistrée et je ne connais rien de pire qu’une voix qui vient perturber l’enregistrement. — Tu as déjà vu Lise comme cela ? Je réponds d’un « non » du doigt. — Martine si, plus d’une fois. Mais je redécouvre à chaque fois. Surtout qu’en général c’est l’annonce d’une suite plus érotique encore. Ta Lise a déjà fait l’amour avec une femme ? Je vais répondre non, mais mon geste se transforme en un « Je ne sais pas ». C’est vrai que je ne sais pas. Avant de me connaître, peut-être a-t-elle goûté à des expériences saphiques. Mais Marc retourne vers elles. Je le vois se plaquer contre sa femme, se frotter à elle, lui parler, à elle ou à Lise, ou aux deux. Toujours ...
... est-il que lorsqu’il se décolle de sa femme la fermeture Éclair de la robe est ouverte. Il ne s’attarde pas. En me faisant signe d’approcher, je le vois faire glisser les manches. Il me sourit en me montrant son épouse en petite tenue et la longue robe, chassée d’un pied négligent. Le couple s’est défait. Lise semble perdue. Son regard passe de l’un à l’autre, sur la robe, vers la caméra. Mais Marc n’en a pas fini. Il fait tourner sa femme qui se présente de dos à la mienne. Lise ne sait que faire. Alors Marc lui prend une main et la dirige vers le crochet du soutien-gorge. L’homme fait-il exprès de reproduire le geste que Lise avait déclenché afin qu’il la caresse lors de la fameuse rencontre ? Je ne saurais le dire, mais pour moi cela me ramène à cette vidéo. Lise s’exécute. Le crochet n’est plus qu’un souvenir, que les mains aident les bretelles et que l’enveloppe de soie tombe. Un silence. Une respiration. Le temps qui s’arrête. On attend. Serait-ce le regard insistant de Marc, mais Lise reprend. Elle tire sur la culotte, dégageant les fesses et puis se penche pour la faire descendre jusqu’aux pieds. Il faudrait deux caméras pour vraiment saisir la beauté et la sensualité des gestes. Une devant qui, partant de la poitrine dressée, descend le long du ventre, s’attarde aux hanches, suit la progression de la culotte qui chute le long des jambes et puis remonte lentement pour faire languir le spectateur et lui faire découvrir la chatte lisse, une fente avec des lèvres ourlées. Et ...