1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1084)


    Datte: 21/07/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... entamé la peau et donnant du sang qui coulait sur mes fesses abominablement déchirées, labourées… Deux motivations me faisaient encore tenir : La fierté du Maître à qui j’appartenais et je voulais anéantir cet homme (Monsieur le Comte) lui prouvant que, ni son titre de Noblesse, si sa qualité de spécialiste en matière de chevaux, ne pouvait justifier sa façon de se comporter. Mais mes forces déclinaient rapidement, ma vue se brouillait, mes bras tremblaient, mes forces semblaient me quitter, quand, enfin, Monsieur le Comte de colère enroula les lanières autour du manche puis jeta le fouet qui traversa toute la pièce, allant frapper un vase de Chine posé sur une sellette, objet d’une rareté telle que Maître, voyant son vase à terre, en mille morceaux, ferma ses yeux, respira un bon coup, mais ne dit rien, tentant de garder son calme. La colère, que dis-je la colère du Maître était palpable. Monsieur le Comte semblait n’avoir cure ni même peut-être conscience de la situation, entièrement dans son combat qu’il savait perdu d’avance. Il ne se rendait même pas compte qu’en se donnant ainsi en spectacle, même son chauffeur ne pouvait supporter la scène car celui-ci détournait son regard. Quant à Walter, plusieurs fois, et je le voyais par en dessous entre mes bras, semblait vouloir bondir pour arrêter cet homme devenu fou et ivre de colère, mais, à chaque fois, peut-être sur un geste du Maître, le Majordome reprenait sa place sur sa chaise… Un silence de mort régnait dans le ...
    ... bureau du Châtelain… Mon visage devait être livide, baigné de larmes, mes cheveux défaits… Monsieur le Marquis prit la parole dans un calme apparent mais cachant une colère contenue, parfaitement maîtrisée : - Monsieur le Comte, avez-vous terminé ? Car je n’ai pas l’impression que vous avez réussi à faire plier Ma pouliche ?... J’en ai voulu, à ses mots, au Maître, qui me semblait provoquer à nouveau le Comte. Celui-ci répondit froidement : - La première partie, Monsieur le Marquis n’était pas due à faire plier votre jument mal dressée, elle n’était due qu’à abaisser sa résistance. J’ai l’habitude de ces juments racées, maintenant je vais l’achever ! Disant cela, le Comte me fit me relever, mais rester sur mes genoux que je resserrais mais, d’un violent coup de pieds sur le genou droit, il me fit écarter les cuisses… Placé en face de mon visage, il sortit son sexe que je connaissais déjà pour l’avoir sucé quelques jours auparavant, mais sa tige était bien mouillée, ruisselante même ce qui me fit me dire, qu’il avait pris beaucoup de plaisir, d’excitation à me cravacher comme il l’avait fait. Les doigts de sa main droite enserrèrent violemment mes joues, entre les mâchoires, me forçant à ouvrir la bouche fortement. Il y enfonça son sexe sans ménagement, jusqu’au fond et plaça sa main gauche sur ma nuque, m’attirant à lui au point que mon nez était collé à ses poils pubiens, m’empêchant de respirer et de déglutir… Il resta ainsi plusieurs longues secondes, puis, sa main droite se ...