1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1084)


    Datte: 21/07/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... fourrageait violemment mon ventre accroché à ma taille, son front inondé de sueur, il donnait tout ce qu’il avait pour soulager sa prostate… A nouveau, je tentais de contrôler ce très mauvais étalon, par un jeu subtil de mes muscles intimes, anaux. Je comprimais sa bite lentement, très lentement, jusqu’à commencer de la faire se dé tuméfier en mon cul de salope blessée, mais pas encore à terre. J’étais le vengeur du Maître qui s’estimait blessé par l’offense de cet homme, mais j’étais également celle qui voulait montrer à ce mâle indigne ce qu’il en coûte à se frotter à de véritables femelles sachant y faire avec les hommes. Il ne s’agit pas à un cavalier de vouloir chevaucher sa monture, encore faut-il savoir la dompter ! A force de comprimer ce sexe nauséeux, il finit par perdre de sa superbe, devenu macaroni flasque et gluant, et d’un coup de reins rageurs, je l’expulsais de mon cul. La vue du sexe du Comte, son état nerveux, son ahurissement devant son incapacité à jouir, le firent rester, tout d’abord incrédule, comme absent, puis il s’écroula dans son fauteuil dans une respiration rapide et saccadée, le front en sueur, pantalon à demi baissé, le sexe pendant mais bavant fortement... Triste image d’un homme précieux, hautain, l’image d’un homme à jamais défait, et, chose aggravante, devant témoins. Monsieur le Marquis reprit la parole, ce qui rompit l’ambiance très lourde. Il m’aida à me relever tout d’abord, me prit dans ses bras, faisant attention de ne pas se tâcher ...
    ... avec les traces de sang maculant mon fessier, m’embrassa tendrement, avec une douceur inouïe, puis me prit par la main, et tous les deux, faisant face au Comte, anéanti, toujours vautré dans son fauteuil, sexe toujours dehors et pendant, il lui dit sans détour : - Monsieur ! Vous êtes anéanti, et honteux, vaincu à la loyale par mon esclave. Je m’estime vengé. Vous ne faites plus partie de mes amis et vous demande de sortir de chez moi immédiatement pour ne plus jamais y revenir. Vous croyant supérieur, vous avez négligé la force de ma femelle et en avez payé le prix, devant nous dans la honte ! Alors que nous allions nous retirer… Avec ce que je vois (il regardait mes traces sanguinolentes encore) Maître rajouta : - Je … devrais de ma main vous... Il ne termina pas sa phrase que, cependant, tout le monde avait comprise et termina en disant : - Viens, Ma belle pouliche, je te conduits à l’infirmerie pour te faire soigner. Quant à vous (s’adressant au Comte) à mon retour en mon bureau, je ne veux plus vous voir ! Walter, fait nettoyer le parquet de ce sang par quelques esclaves! - Bien Monsieur, avec grand plaisir. Maître me conduisait tenue par la main comme sa belle qu’il emmène pour danser. Nous traversions des pièces, dans lesquelles, les esclaves et personnels s’inclinaient devant notre passage, certains (es) gardaient des yeux grands ouverts devant mes plaies de mon fessier, et Le Noble me dit : - Aujourd’hui, belle esclave, tes souffrances ne resteront pas vaines à mes ...