Un week-end torride. Samedi - Histoires de Sexe

Un week-end torride. Samedi

... ! », puis à nouveau une bouche qui m’absorbe, à fond, avec des palpitations de langue, beaucoup de salive, des dents qui me mordent doucement le gland… C’est trop ! Cette fois, aucun doute, je reconnais : — Laure, c’est Laure ! dis-je en gémissant. Et la voix de Clara : — Dis donc, oui, chapeau ! Elle suce mieux que moi ? Eh ben !— Pas pareil… dis-je en grimaçant de plaisir, plus amoureux, plus doux… désolé Clara, c’est mieux… Puis tour à tour les bouches alternent, me prenant, me lâchant. Et là je ne sais plus, je suis aux anges… Je sens que je vais me libérer, je me cambre, quatre mains et deux bouches me tirent des cris et des spasmes de plaisir… et à grands jets j’explose entre des lèvres – lesquelles, combien ? – que je ne reconnais plus ! Fantastique ! Une langue, deux langues ? qui finissent un nettoyage consciencieux, des bruits de succion, des halètements, des rires, des mains qui, délicatement, avec douceur me caressent jusqu’au calme revenu. Je geins, fait mine d’ouvrir les yeux, et la voix de Clara : — Ne regarde pas ! Tu ne dois pas savoir… Ça va ? Le pied, non ? Essoufflé, la poitrine parcourue par des petits baisers venant de partout, j’ouvre les paupières pour ne voir qu’un fouillis de chevelures blondes et brunes, des seins qui se coulent sur ma poitrine, s’y frottent de leurs tétons. — Garces ! Vous êtes des garces… murmuré-je, pâmé. Laure et Clara, penchées sur moi, leurs cheveux mêlés, rivalisent des lèvres sur mon torse et sur mon ventre, puis ...

... s’embrassent, se caressent les seins, replongent sur moi. Torride ! Pour un peu, une nouvelle érection me viendrait… des mains me palpent encore comme essayant de réveiller mes ardeurs. Je gémis… en me relevant, les entourant de mes bras. — Stop ! vous allez me tuer ! Mais j’ai bien cru que vous deux…— Non, non… susurre Clara, quand on a un homme sous la main, n’est-ce pas Laure, on en profite ! Et quel homme !— Et encore ! Tu t’en sors bien ! poursuit celle-ci en riant.— Oui… on voulait te faire une pipe à la crème Chantilly, une idée de Laure !— Hein ? Quelle idée ! m’exclamé-je, et alors ?— Une autre fois, que pour nous deux ! soupire Laure, c’était une idée, d’une copine !— Ah ! Pourquoi pas ! dis-je, et c’était qui, pour la fin, tout à l’heure ? Elles se regardent en souriant, complices. — Pas moi ! s’écrit Clara en ouvrant la bouche et en tirant la langue.— Ni moi ! glousse Laure en l’imitant.— Tu ne dois pas savoir… et quelle importance ? poursuit Laure.— Ce que je peux dire c’est que notre chérie est devenue experte ! souligne Clara— « Notre chérie ? » remarqué-je d’un ton étonné. Laure rit en me prenant la main : — Clara veut dire que je vous appartiens un peu à tous les deux ! Puis se tournant vers elle : mais tu sais ma puce, maintenant, Jean-Pierre a pris beaucoup de place dans mon cœur, j’ai changé ! Alors, attention !— J’avais remarqué… dit Clara doucement, alors je me ferai petite, toute petite ! Puis d’un ton ferme et en riant, elle ajoute : — Dis donc ! Quand t’es pas ...