Un week-end torride. Samedi
Datte: 02/06/2018,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
fbi,
parking,
amour,
volupté,
Masturbation
Oral
jeu,
yeuxbandés,
ecriv_c,
... plein les cuisses, j’aime, j’aime ça… c’est chaud, c’est toi… Mon string, détruit ! Dès rentrés, nous nous retrouvons au lit le temps de le dire, dans un désordre indescriptible de nos vêtements mêlés. Elle cherche ma main, la pose à plat sur son bas-ventre. — Tu sens ? À l’intérieur, ces crispations… J’ai encore envie ! C’est pas vrai ! C’est vrai, elle frissonne, s’agite, les nerfs à vif, la respiration courte. — Ta main, caresse-moi… chuchote-t-elle Mes doigts après, avoir joué avec ses quelques poils, s’immiscent dans ses moiteurs. Laure se cambre, me retenant d’une main, sa bouche dans mon cou. — Oui… continue, rentre tes doigts, fouille-moi ! Sa respiration se fait rapide, elle geint, se retenant de crier. — Ah ! Je vais encore jouir… ah ! Pliée en deux, me repoussant, sa main remplace la mienne et, s’étant mise sur le ventre, la tête dans l’oreiller, elle a un orgasme violent, les fesses en l’air ! J’ai presque peur de la voir ainsi, n’en finissant pas de jouir, en étouffant ses cris. — Ça va ? m’inquiété-je, voyant encore son corps parcouru de spasmes. Souplement elle se met sur le côté, m’attire contre elle, minaude. — Oui… pardon ! Oh ! là, c’était fort ! Je m’en souviendrai du parking, j’ai pas dû avoir mon compte tout à l’heure. Terrible ! Ça venait de loin, par vagues !— Eh ben ! Préviens, la ...
... prochaine fois ! dis-je, maintenant rassuré.— Mais c’est toi ! Avec tes mots, tes regards, tes caresses !, s’exclame-t-elle doucement, tu te rends pas compte ! o-o Maintenant elle ronronne, la tête sur ma poitrine, en ayant de temps en temps encore des petits sursauts, des soupirs. — Jean-Pierre, je suis heureuse ! chuchote-t-elle, j’ai peur, j’ai tellement peur… de repartir tout à l’heure, de te laisser ! À nouveau, je pense qu’elle est fragile sous ses airs affranchis. Je me sens responsable de son bonheur, de sa vie… de l’avenir. Pour toute réponse je la serre très fort, comme pour lui communiquer ma confiance… Longtemps je lui ai murmuré mille choses pendant qu’elle se maintenait roulée en boule contre moi, comme un bébé, m’écoutant, se contentant de me chatouiller de ses cheveux en acquiesçant de la tête. Enfin elle ne bougea plus, endormie, apaisée. o-o Je ne dors pas, respirant à son rythme. L’avenir. Quel avenir ? Et tout bonnement, l’idée surgit, d’abord furtive, puis grossit, s’amplifie, s’impose finalement, évidente, incontournable. Et si tout simplement on se mariait, « nous aussi » ? Pourquoi pas ? Laure y trouverait la marque d’un projet solide pour nous deux. Un équilibre. En m’endormant à mon tour, je me dis lui réserver la surprise pour tout à l’heure, chez Clara. Ça promet des émotions…