L'appel d'offres
Datte: 21/07/2017,
Catégories:
fh,
fhh,
hplusag,
extracon,
Collègues / Travail
fsoumise,
facial,
Oral
fist,
double,
fsodo,
ecriv_f,
... ensemble pour rencontrer le client sur Genève. Le reste des consultants commençant à jalouser ma position fût contraint de travailler le reste des détails de l’opération. Arrivés à Genève, la première soirée fût délicieuse, nous dînâmes dans un grand restaurant du centre puis fonçâmes dans l’une des suites pour faire l’amour comme des gosses. Nous nous remîmes au travail dans la soirée, épluchant les diagrammes, les compte-rendus et les propositions commerciales. Comme très souvent son humeur changea d’un coup, il m’arracha mon chemisier et me fit agenouiller sous la table, me baisa frénétiquement la bouche à m’en faire déglutir puis éjacula dans mon corsage. Je restai ainsi, dépoitraillée, et les seins couverts de sperme, pendant tout le reste de la séance de travail. Je ne parvenais pas à me faire à ses sautes d’humeur, j’adorais ses moments tendres d’amant expérimenté et attentionné, et craignais en même temps quand il devenait autoritaire et pervers. Je dois aussi reconnaître que j’aimais ça, ce sentiment de soumission et d’exclusivité pour un homme de cette trempe ; ça me flattait et m’excitait à la fois. Combien de femme n’ont-elle jamais eu la chance de partager la vie ou le lit d’un homme d’exception ? Le jour de la rencontre se rapprocha, notre dossier était complètement peaufiné et nous devions le présenter au client dans une grande résidence qu’il louait dans le centre de Genève. C’est le moment que choisit mon patron pour m’annoncer qu’il rentrait sur Paris pour ...
... des raisons professionnelles et qu’il s’était entendu avec le client pour que j’aille présenter seule notre offre de service. — Rassurez-vous, je vous ai présentée comme mon second et j’ai bien insisté auprès du client sur l’étendue de vos compétences. Il n’y avait rien à discuter, je serais, dès le lendemain, au soir chez le client. — Tout repose sur vous, je sais, à la lumière de notre préparation et depuis que nous nous connaissons, que vous avez toutes les connaissances et pratiques professionnelles pour convaincre mon vieil ami. Et il s’éclipsa dès le lendemain matin, non sans avoir vidé ses couilles dans ma bouche en guise de petit déjeuner. Je me présentai donc en fin d’après-midi devant les imposantes grilles d’une immense demeure bourgeoise, aux magnifiques jardins à la française et au service d’ordre très présent. Je fus immédiatement escortée par deux jeunes malabars qui m’orientèrent , après vérification de mon identité, vers une petite annexe de la demeure. Dès mon entrée dans le bâtiment, j’eus le pressentiment que quelque chose ne collait pas ;j’entrai dans une sorte de garage de luxe ou trônaient, juste en son centre, deux luxueuses berlines aux vitres teintées. Elles étaient espacées de 4 ou 5 mètres et se faisaient face. — Monsieur Lindberg va vous recevoir, avancez donc vers la voiture. Je fis quelques pas et relâchai mon attention. Ce fut à ce moment précis, après avoir avancé à quelques pas de la deuxième voiture, qu’un des deux hommes de main m’agrippa ...