1. L'appel d'offres


    Datte: 21/07/2017, Catégories: fh, fhh, hplusag, extracon, Collègues / Travail fsoumise, facial, Oral fist, double, fsodo, ecriv_f,

    ... docilement, j’ai pris la tige raide et nerveuse en bouche, il est d’une vitalité étonnante pour son âge. Son visage est maintenant crispé, sévère. Après quelques va-et-vient pour baiser fort ma bouche il ressort et sans préavis explose sur mon visage. Les longues saccades de sperme ont souillé mes cheveux, mes joues et mon menton. — Bouffez-le ! Il a attrapé ma main, il badigeonne mes doigts avec le sperme étalé sur mon menton et m’ordonne de les lécher. L’instant d’après il me fait relever, tourner et me bloque les cuisses contre la table, le ventre pressé sur le plateau, je suis ainsi cambré, collée au meuble et lui bloqué derrière moi. Il me compresse entre lui et le meuble et me reprend par les cheveux. D’un mouvement ample, il me pénètre, ressort et commence à me limer frénétiquement en gémissant. — Vous la sentez ma queue, Christine, vous la sentez bien, répondez !— Oui…— Dites-moi que vous allez être ma salope, dites-le-moi !— …— Je vais être votre salope, dites-le !— Je vais être votre salope…— Oui, à compter d’aujourd’hui, vous êtes ma salope attitrée !— Oui !— J’en ai marre des jeunes pétasses de secrétaires et d’assistantes, je veux que ma plus proche collaboratrice traite mes dossiers et me prête son petit cul chaque fois que j’en aurai envie, qu’elle soit ma cour personnelle, ma chasse gardée en jarretelles, bas et tailleur.— Oui Monsieur.— Je veux surtout que vous léchiez mon foutre, à mon âge aucune goutte ne doit se perdre. Il est ressorti de moi au bout de ...
    ... quelques minutes, a précipitamment attrapé une assiette de luxe dans la bibliothèque vitrée du salon et craché sa semence sur la jolie vaisselle. Il la place sur la table devant moi. — Montrez-moi si j’ai bien toutes les compétences à mon service, Christine ! Et là je n’en reviens pas, comme une bonne fifille, je tends la langue vers l’assiette et lèche docilement la semence. Quelques instants plus tard, nouveau changement, il redevient attentionné, prévenant, me prend comme un chevalier dans ses bras et me porte jusqu’à son lit conjugal. Là nous passons une heure à faire l’amour de façon passionnée, amoureuse et jouissive. — J’ai été dur avec toi mon ange. Nous nous endormons. C’est ainsi que je suis devenue la jeune maîtresse de mon patron ; notre relation vira vite à la caricature, tantôt ange : j’avais droit à un samedi soir dans un grand hôtel de luxe avec champagne ou une barque à la campagne, tantôt démon : il me clouait à son bureau entre deux réunions, déchirait mon petit anneau et crachait son sperme sur ma tête ou mon visage. Combien de fois ais-je du me précipiter vers les toilettes pour laver les souillures dans mes cheveux ! Cette relation s’est prolongée pendant deux semaines avant qu’un appel d’offres ne tombe et monopolise tout le cabinet. Un géant de l’informatique, dont le patron était un ami de Michel, nous consultait face à un de nos concurrents pour un contrat monumental de coaching et de recrutement. Nous planifiâmes ainsi, à la va-vite, un déplacement ...
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