1. Un tendre au revoir...


    Datte: 21/07/2017, Catégories: fh, couple, amour, hsoumis, fdomine, intermast, Oral pénétratio, hgode, uro, sm, attache, gifle, policier,

    C’est le calme plat, pas une affaire en ce moment (rien à faire). Il faut dire que dans mon métier, il y a des moments où il faut attendre que du boulot se présente. Ma femme (je ne la décris pas, tu serais jaloux ; je te dis juste qu’elle est superbe à faire baver), donc ma femme – qui est aussi ma secrétaire – apparaît : — Puisque tu n’as rien à faire, ce serait le moment d’aller… Je ne lui laisse pas le temps de finir. Je l’attrape. La désape. L’allonge sur le bureau. — Espèce de gros salingue, tu penses qu’à ça, fumier d’gros porc de… Haaaaaouu ! Qu’est-ce que j’aime quand tu m’fais ça… vas-y ! Plus profond ! Mets toute ta main ! … Haaaa ! Que c’est bon… Allez, fais le maintenant, ne joue pas les fumiers… C’est ça, tripote-moi… Attend, je m’assois… Vas-y, la voie est libre… Oh oui ! Caresse-moi, bisouille-moi partout… doucement, pas trop vite, je veux en profiter au maximum… Bon, tu peux y aller, suce, broute, lèche… houa ! T’es vraiment le meilleur : cette façon de me lécher la chatte en même temps que de me tirer les tétons… Hi, hi… Je suis prête, vas-y… ouf ! Eh ! Doucement quand tu passes par-là… Ça me brûle… Oh pis, tant pis, vas-y ! … Non arrête ! Ça me fait un mal de chien… Fais-moi jouir par voie normale… et laisse mes seins tranquilles, un peu ! Tu n’as pas arrêté de les malaxer ! Lâche-les maintenant ! Je sais que tu les aimes, mais quand même, faut pas exagérer !… Allez ! Allonge-moi… Oui, par terre… C’est bon ? Alors vas-y… cette lenteur, c’est vraiment… Hou, ...
    ... Haa… Haaaaiiiingg !… Continue ! J’en veux un autre… Continue de limer pendant que je me mets à quatre pattes… Attends avant d’accélérer, je ne suis pas encore installée… Oui ! Oui… Voilà, la poitrine contre le sol, comme ça je peux me caresser en même temps… Haa… hou… hi… Haaaaiiingg !… Encore ! Encore !… À peine avons-nous débuté – quand même une demi-plombe plus tard, mais je ne suis pas du genre branleur qui se contente de cinq minutes – le bigophone dringue (du verbe dringuer, tu ne connais pas ? normal : je viens de l’inventer). Je suis furieux d’être coupé sur ma lancée. J’attends un moment tout en essayant de remballer le matériel – ça fait plus bosseur, on ne sait jamais, si c’est un client… Finalement je prends le combiné la queue à l’air car celle-ci est encore trop raide pour pourvoir rentrer dans mon calcif. — Lo, houai, c’est moi… ah ! S’lut Fred, j’t’avais pas reconnu ! Comment va ?… non, pas pour le moment… comment ? T’as un client for me… Urgent !… (long silence)… c’est pas d’la tarte, mais, putain, dix mille euros… OK, dis-leur qu’chuis d’accord, à plus, Fred. Ma femme paraît désespérée – on comprend très bien ce qu’elle est en train de se dire, pas besoin de sous-titres. Bigre ! Qu’est-ce qu’elle est belle comme ça ! Avec son gracieux visage, ses yeux émeraude, son petit nez et ses longs cheveux châtain clair, en plus je te rappelle qu’elle est encore en tenue d’Ève : son corps parfait est délicieux à mater, et j’espère être le seul à en profiter. — Oh non ! ...
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