1. Un tendre au revoir...


    Datte: 21/07/2017, Catégories: fh, couple, amour, hsoumis, fdomine, intermast, Oral pénétratio, hgode, uro, sm, attache, gifle, policier,

    ... la grimace. Traduction si tu n’as pas compris : je ne pourrais pas faire grand-chose avec ça. Suivant mes instructions, un des faux gardiens s’empare d’un talkie-walkie, puis crie en anglais – c’est la langue utilisée par les terroristes : — Venez vite, il y une évasion, faut des renforts. Je tire une rafale en l’air pour que cela soit plus réaliste. La réponse : — OK, bien reçu, on arrive. Les volontaires et moi nous cachons un peu partout dans le couloir longeant la prison, les sécurités de mes armes retirées. Je vois quelques hommes se précipiter vers nous. Je donne l’ordre de tirer. Des dizaines de petits points bleus apparaissent sur les bandits qui tombent comme des mouches. Très pratique, ces stylos ! Je m’en sers pour neutraliser les gardiens et leurs chiens lors de mes cambriolages. C’est du nouveau matos top-secret réservé aux services secrets – et à moi, grand pote d’un des pontes des services français. Les gredins font un bond sur le côté et entrent dans une pièce où j’avais pris la précaution de laisser d’autres hommes, prévoyant la réaction des malfaiteurs. Déjà une vague de terroristes maîtrisés, c’est-à-dire au moins une dizaine HS. Je les fais enfermer. — Allons-nous en vite, ils vont se douter de quelque chose et revenir plus nombreux. Je referme la porte de la prison et charge les faux gardiens de dire aux terroristes que la tentative d’évasion est maîtrisée. Nous progressons dans le couloir en inspectant ...
    ... chacune des pièces. Un quart d’heure plus tard, notre fouille a porté ses fruits : nous avons découvert une salle remplie de munition, de mitraillettes, etc. : un vrai arsenal d’armes de poing. Je décide de ne pas en prendre car ces pistolets sont moins faciles à manœuvrer que mes « stylos lasers », je vais plutôt condamner la porte de cette pièce, histoire de ralentir les terroristes. Je sors de mon sac une pâte miracle, une sorte de mastic qui devient rapidement extra-dure et colle irrémédiablement deux pièces. Je me mets au travail afin de relier la porte à son encadrement. Je finis cinq minutes plus tard. Nous restons encore dix minutes pour veiller à ce que personne ne l’ouvre avant que ma colle soit parfaitement sèche. Puis nous reprenons notre fouille des lieux. Beaucoup plus tard, nous trouvons une salle fermée à clé. J’entreprends de l’ouvrir avec un passe que je sors de mon « sac aux merveilles ». Dans cette pièce, on trouve un ordinateur : une aubaine ! Je fais garder la porte, pendant que la jeune sex-bomb et moi « ouvrons » l’ordinateur. Celui-ci est protégé par un code secret, je sors donc mon PDA que je branche à une prise USB. Je l’allume et lance le logiciel adéquat. Cela va prendre un moment. Un de nos compagnons crie : — Regardez ! Une bombe !— Planquez vos stylos ! Et vous aussi par la même occase… Je n’ai pas le temps de dire autre chose : un gaz jaunâtre s’en échappe. Je tousse puis m’évanouis. (À suivre) 
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