Les outrances d'un prêtre
Datte: 03/06/2018,
Catégories:
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... ostentation, Les poignets attachés, souriante et soumise. Il te faut prononcer le pater maintenant : Je te veux les yeux clos récitant Notre-Père Tout en me présentant un derrière avenant Afin que la magie du sacrement opère. Quand tu auras fini, d’un ton contemplatif Vénère sans cesser et dis le Notre-Dame, Dans le temps d’enfiler là un préservatif Protégeant des virus et autres cryptogames. Je dirai l’Oremus et le Confiteor ; Fais ton mea culpa car tu es à confesse. Pour t’absoudre je vais pénétrer dans ton corps. Respire et détends-toi en écartant les fesses. Je vais t’écarteler sur mon grand braquemart : Ton anus sentira qu’un long bâton l’empale. Tu seras éprouvée comme en un cauchemar, Embrochée jusqu’au fond de la bouche tripale. Souviens-toi des martyrs qu’on livrait aux lions, Tout heureux en marchant fièrement vers l’arène : Faisant la volonté de Dieu sans rébellion, Dans l’épreuve ils avaient toujours l’âme sereine. À lui-même : La rosette s’entrouvre au milieu du sillon Fessier qui m’est offert dessus la nappe blanche : Contraste saisissant d’un œillet vermillon Et du linge d’autel, empesé, du dimanche. L’odeur du sexe ouvert allié à l’encens M’excite tellement qu’il me vient la folie. Il n’y a plus d’Église ou de Dieu tout-puissant, Seulement cette femme et moi qu’un vit relie. J’ai fantasmé longtemps de cette perversion, Souvent imaginé tout ce dévergondage. Enfin voici le trou accueillant l’immersion De mon sexe érigé, alors, à l’abordage ! Elle Je sens avec ...
... délice un long membre viril Glisser par mon anus jusqu’au fond des entrailles. À l’intérieur il vient au niveau du nombril À travers un réseau d’accueillantes tripailles. Je sens que mon œillet fortement dilaté Saigne un peu du passage en force de la verge. Vous m’avez défoncée : mon cul est formaté, Voici que de l’anus je ne suis plus des vierges ! Oh ! Que c’est douloureux ! Mais j’adore avoir mal Alors que le plaisir vous marque le visage. C’est un bourrèlement, malgré le soin chrismal Qui bien des agréments entre nous deux présage. Cela doit vous gêner : il y reste un étron. Peut-être vaut-il mieux ici que je me purge Et faire s’écouler cet excrément marron ? Faites mon lavement, vous serez thaumaturge. Versez un peu de vin par vos soins consacré Dedans mon intestin, sans nulle répugnance. Vous pourrez alors voir la selle s’exécrer. L’alcool me causera sans doute des souffrances… Prêtre Aime cette douleur que j’inflige à ton corps : Tu te rapproches ainsi de la sainteté pure. Vois comme cette église est un glorieux décor À ta consécration, lubrique créature ! À lui-même : Le ciboire recueille un brunâtre excrément, Vase sacré empli de matière fécale. C’est là un sacrilège extrême, assurément : L’apothéose de mon action cléricale. Comme sur un fumier, la fleur peut émerger. C’est au cœur de la nuit, dans des senteurs triviales, Qu’il vient l’envoûtement de l’odorant verger Des sécrétions de femme aux fragrances bestiales. Des charmes féminins, tout me fut interdit. Tout ce ...