1. Les outrances d'un prêtre


    Datte: 03/06/2018, Catégories: f, h, fh, ff, fbi, hplusag, uniforme, bizarre, amour, fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme pied, Masturbation entreseins, Oral pénétratio, fsodo, hsodo, lavement, attache, BDSM / Fétichisme bougie, fouetfesse, init, théatre, humour,

    ... l’ai dit, Afin que d’abuser méchamment de moi-même. Vous étiez devant moi ; d’un mouvement hardi Vous vous mîtes à nu : quel horrible blasphème ! Vous n’aviez conservé autour de votre cou Que la croix rappelant à tous le sacerdoce. Vous étiez excité et vous bandiez beaucoup. Il faut admettre que ce rêve fut atroce ! Prêtre Détaillez un peu mieux cet horrible péché. Fantasmer au sujet d’un homme de l’Église : Le Diable saura bien demain s’en pourlécher. Il s’introduit la nuit, et l’âme il subtilise. Elle Oh ! Prononcer ces mots me paraît insensé Tant je me sens rougir, car la chose est taboue. Sans doute le démon m’a-t-il influencée Pour que mon âme ainsi se recouvre de boue. Les mots me viennent mal : ma stricte éducation Ne m’a point enseigné tout le vocabulaire Qu’il faut pour exprimer cette fornication Qui a eu lieu dans la toison triangulaire. Prêtre Il est sain que de vivre en toute vérité Dans la crainte de Dieu comme les Écritures Nous l’ont bien enseigné : votre salubrité Dépend que votre vie soit pleine de droiture. Vous avez succombé au piège de Satan : C’est le péché de chair qui est de tous le pire, Car il vous attendait : son plaisir charlatan Vous a fait basculer dans son sinistre empire. Je connais vos parents et sait leur probité. Il faut vous préserver de la concupiscence. La sensualité ne doit vous habiter. Êtes-vous vierge encore, en fin d’adolescence ? Elle Oui, car je n’ai jamais laissé quelque garçon Accéder à mon lit : je fuis leur convoitise. Avec ...
    ... eux je me fais plus froide qu’un glaçon, Y compris pour celui qui, patient, me courtise. Cependant je ressens, cachée, une chaleur : Une bestialité rugit dans mon bas-ventre, Quelque chose de doux qui attise en ma fleur Intime un incendie, qui vient la nuit et entre. Des images obscènes, interdites chez moi, Procèdent à l’intrusion dans mes pensées conscientes. Ces rêveries persistent et causent mon émoi. Contre elles, mes prières échouent, inefficientes. Prêtre Alors, racontez-moi dans le moindre détail Ce que l’obscurité a versé dans vos veines. Vous étiez la brebis modèle du bétail. Je vous condamnerai à dire des neuvaines. Elle J’avais glissé mon doigt sur le petit bouton Caché dans un repli de ma lubrique fente, L’autre index dans l’anus, comme font les gitons : J’étais gagnée par la luxure triomphante. La phalange a erré au milieu du jardin Où elle a su trouver la butte frémissante, S’en allant titiller le faîte incarnadin Afin que d’en tirer une fièvre indécente. Le mouvement se fit de plus en plus précis, Épousant le relief de façon circulaire Tandis que l’autre main, sur mes tétins durcis, Agaçaient ces appas de façon à leur plaire. Le plaisir montait fort : il me fallait gémir. Je procède ainsi quand je me manualise, Tout en voyant sur vous le pénis s’affermir. Cette obscénité à coup sûr vous scandalise ! Puis vous prîtes mes pieds afin de les frotter De vicieuse façon sur votre organe mâle, Balançant cette croix que vous n’aviez ôtée Au-dessus de ma fleur poilue et ...
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