Les outrances d'un prêtre
Datte: 03/06/2018,
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... : à son air c’est probant ; Je ferai ma proie de l’oiselle du dimanche. La belle est ingénue, et grâce à sa candeur Je ferai ce qu’il faut pour capturer ses charmes. Je suis tant attiré par cette exquise odeur De sa transpiration qu’il faut rendre les armes. Naguère j’étais fier de ma sombre droiture. Je regardais les femmes avec quelque dédain En condamnant les gens vautrés dans la luxure Où je vais me plonger par un désir soudain ! Manipulons-la donc, ce qui sera facile Car elle ignore tout des choses du plaisir. Mon âme est enflammée pour son beau corps gracile. L’instinct de copuler est venu me saisir. Voyons : il y a un trou dans le mur des toilettes Permettant d’observer d’ici facilement Les belles qui se croient tranquilles et seulettes. J’aime bien regarder, occasionnellement. Oh ! Sa peau est à nu d’une façon totale Et voilà qu’à présent je la vois se toucher ! Elle vient d’écarter, les nymphes, ces pétales, S’enfonçant plus encore à fond dans son péché ! Mais voici qu’elle urine en un long jet torride, Une touffe de poils d’où s’écoule l’ondée : Tout cela me procure une érection solide. Il me faudra fesser cette dévergondée ! Pour s’essuyer il faut qu’elle écarte les cuisses ; Je la vois s’effleurer un peu le clitoris. De la noire Lilith c’est vivante esquisse. Son sexe est une fleur, un étonnant iris ! Aurai-je le bonheur d’observer qu’elle jouisse, Qu’elle aille jusqu’au bout du plaisir féminin ? Aurais-je deviné que tant elle m’éblouisse ? Son sourire pourtant ...
... m’avait semblé bénin. J’ai en mémoire la paroissienne fidèle Vêtue très simplement lors des célébrations, La chrétienne zélée que je donne en modèle, Toujours bien à genoux pour la prosternation. Quelle transformation ! Elle semblait si sage Avec sa robe blanche entre ses deux parents… Mais voici maintenant d’elle un nouveau visage : De sa nature vraie je fus tant ignorant. Quand elle était enfant, elle se confessait Pour avoir oublié de dire ses prières. Elle écoutait, tout ouïe, lorsque je professais L’Évangile : la plus sage des écolières. Aujourd’hui, j’ai vu que son corsage est rempli Par deux jolis seins blancs absolument sublimes. Que de transformations le temps a accompli, Toujours avec des yeux qui tant de joie expriment ! Une fois retirée, la chemise fleurie Dévoile une poitrine à condamner un saint. Quand bien même ce geste est une rêverie, Je donnerais beaucoup pour caresser le sein. Je l’entends respirer d’une façon profonde. Ses doigts vont à présent plus vite dans l’action. Cette masturbation semble de joie féconde, Alors que mon regard la prend par effraction. Elle gémit, se cabre et se tend, se tortille, Se mord la lèvre afin d’éviter de crier. C’est un tison de feu, un poisson qui frétille, Un cheval fou jetant l’homme des étriers. Jusqu’au septième ciel je la vois qui s’élance. C’est extraordinaire, un spectacle étonnant : L’orgasme féminin est sans équivalence. Je m’ébahis tout en cette femme espionnant. J’aime tant épier les charmes d’une belle Que j’en ...