1. Les outrances d'un prêtre


    Datte: 03/06/2018, Catégories: f, h, fh, ff, fbi, hplusag, uniforme, bizarre, amour, fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme pied, Masturbation entreseins, Oral pénétratio, fsodo, hsodo, lavement, attache, BDSM / Fétichisme bougie, fouetfesse, init, théatre, humour,

    ... génitale. Oui, je vous masturbais en usant des petons Entre lesquels glissait une verge turgide Humectée de rosée du désir, un bâton Que je trouvais alors absolument splendide. Cette croix balançait au-dessus de mon corps S’adonnant au plaisir, blasphème redoutable Outrageant le Seigneur, et malgré mes remords, Je me laissais glisser loin du bien véritable. J’ai bougé mes orteils pour mieux vous exciter ; Grâce à ce mouvement vous paraissiez aux anges : J’en ai intensifié, lors, la vélocité, Ce qui m’a valu de votre part les louanges. Entendant le prêtre s’agiter, elle s’interrompt brusquement. Mon Père ? Allez-vous bien ? Ou dois-je là cesser Si mes propos vous troublent ou de trop vous offensent ? Mais je n’ai pas fini de tout vous confesser, De témoigner tout ce que j’ai sur la conscience. Prêtre, en sueur, épongeant son front avec son mouchoir. Je vous prie, allez, poursuivez le récit. Ce n’est pas tous les jours qu’on a ces déballages. Contez-moi en détail, avec des mots précis, L’aveu de cette orgie dont vous faites étalage. Elle Après un court moment, vint l’éjaculation Enduisant mes doux pieds de votre sève blanche. De ce songe bestial je fais la délation. Coupable je lui suis, mais mon âme s’épanche ! Je lisais tant de joie dans vos grands yeux rieurs, Vous paraissiez si fort apprécier cet outrage, Épongeant votre front ruisselant de sueur, Que votre râle était celui d’un loup sauvage. Ensuite j’ai léché, d’un mouvement gourmand Les gouttes de ce suc que l’on nomme ...
    ... le sperme. Vous m’aviez observée, toute nue me pâmant De goûter ce que vos testicules enferment. J’ai trouvé ce moment absolument exquis, Un songe très puissant et chargé d’indécence. Un orgasme puissant au bas-ventre naquit. Je m’abandonnai à la volupté immense ! Ah ! Le feu de l’enfer peut-il être plus vif Que celui qui a pris alors entre mes cuisses ? Dans cet égarement, mon corps se fit lascif ; Il s’en fallut de peu que je m’évanouisse. J’ai eu l’impression de m’en aller de mon corps ; Est-ce cela qu’on nomme extase en parler docte ? J’étais entrée dans un fantastique transport, Sentant rythmiquement ma chair qui se contracte. Je me sens assez mal : permettez un instant Pour me reprendre un peu de me rendre aux toilettes ? Vous avouer cela me gêne et trouble tant Que cela me met dans la confusion complète. Prêtre Faites-donc, Mademoiselle, et revenez après. Il me faut réfléchir à la juste sentence ; Prions et méditons, et puis je serai prêt À dire ce que Dieu, dans sa sagesse, pense. Scène 2 Le prêtre, seul. Prêtre Cette jeune femme a de terribles façons D’exprimer son péché et décrire son geste Qui provoquent chez moi de très violents frissons. Il faut absolument que fort je l’admoneste ! Sa beauté n’a d’égal que son sourire exquis, Car je suis si sensible aux ors des jouvencelles Que ne puis garder l’ascétisme requis Par la situation : mon âme se morcelle ! J’ai déjà remarqué, assise sur son banc, Entre ses deux parents, sagement, cette oie blanche. Elle n’est pas futée ...
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