1. On rase le passé


    Datte: 03/06/2018, Catégories: f, ff, asie, vacances, caférestau, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, rasage, Oral fdanus, aliments, init, lettre, initff,

    ... chose que les vitrines avec bobonne. Le plus étonnant, c’est que je me sentais de plus en plus fière, de mieux en mieux dans ma peau. Très rapidement, j’ai constaté que je ne regardais plus les vitrines. Jeme regardais dans les vitrines. Et la femme que j’y voyais y était pas mal du tout, avec ses longues jambes, ce petit triangle fleuri et ces fesses, ces fesses… et dire que tout ça était resté des années sous des uniformes et des tailleurs stricts. Ma peau respirait enfin ! Je me sentais libre et mes doigts sentaient la vanille ! Mais, maman, comment as-tu pu vivre et me faire vivre en prison toutes ces années ? Et dire que j’allais mourir sans même savoir ce que c’est que de sentir une ficelle pénétrer dans mon sexe et sans avoir senti tant de regards avides sur la courbe de mes fesses ! Mais les émotions, ça creuse. Je suis entrée dans un petit restaurant mais le restaurateur m’a gentiment fait remarquer que ma tenue n’était pas assez décente pour le standing de son établissement. Je lui ai sagement répondu que je comprenais et que j’allais aller me changer tout de suite. J’ai couru à mon bungalow, déposé mon string sur la baignoire et, le temps d’admirer encore une fois la petite ligne de poils restants au-dessus de ma fente nue, j’ai enfilé ma minijupe et mon chemisier. De retour au restaurant, le patron m’a regardée de haut en bas et m’a glissé à l’oreille que c’était beaucoup mieux et qu’il m’avait réservé une table tranquille à l’étage. À en juger par le silence de ...
    ... la salle qui m’a accompagnée quand je montais les escaliers en colimaçon, je me demande si vraiment ma nouvelle tenue était si décente que cela. J’ai eu droit à l’apéritif de la maison, au vin du patron et à un service spécial. Je n’avais jamais lu dans mes livres d’économie que le fait de diminuer de cent pour cent les dépenses en culottes entraînait une augmentation de cent cinquante pour cent des bénéfices en nature ! Double économie ! Le prochain sujet d’une thèse ? Malheureusement je me suis aussi rendu compte des désavantages de ma nouvelle vie : presque en face de moi il y avait un couple en train de s’empiffrer de gras de poulet. L’homme avait certainement remarqué quelque chose car il n’arrêtait pas de me regarder avec ses yeux globuleux et sa bouche baveuse. C’était plutôt gênant, ce regard lubrique posé sur moi en permanence. Le plus terrible fut quand il s’est levé et que, très galamment, il a laissé passer sa femme devant lui pour pouvoir me glisser sa carte de visite avec le numéro de sa chambre. Je l’ai immédiatement jetée. D’accord pour m’afficher, pour libérer mon sexe. Mais de là à m’ouvrir à la première bite venue, il y avait un pas que je ne voulais jamais franchir. Je pouvais rester digne, avec ou sans culotte ! Femme libre ne veut pas dire pute. Et puis je préfère être traitée de pute que d’être un sale vicieux pervers au cerveau taille couille, incapable de se passer de cette créature aux pieds de laquelle il se tient à genoux et qu’il appelle « salope ...
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