1. Une famille sexuellement débridée (7)


    Datte: 03/06/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    Pour la première fois depuis notre baise inaugurale, je me retrouvai seul avec mes parents le mardi soir. Il ne fut question à table que de banalités. Personne ne revint sur l’expérience vécue avec Stéphane. Je me retirai dans ma chambre après le repas pour bosser. Vers 22 H 00, les cris commencèrent. Papa déboitait maman d’importance à en juger par le ramdam qu’elle faisait. Je n’osai pas aller les rejoindre mais je ne pus demeurer insensible. Et puis d’ailleurs, ce n’était pas parce que nous pouvions baiser en famille que je devais forcément y aller à chaque fois. Il fallait bien leur laisser de temps en temps des moments d’intimité. J’eus donc recours à la veuve poignet pour m’accompagner. Le lendemain, maman me prévint. Le soir, Thierry et Jean-Michel, le patron de papa, seraient de la fête. On risquait donc d’être un peu plus longs mais on commencerait plus tôt. Maman ne m’invita pas à me joindre mais, au diner, les plaisanteries graveleuses et les claques sur le cul que les mecs donnèrent à ma mère me prouvèrent qu’ils savaient au moins que je savais. Ils attendirent cependant que je me sois réfugié dans ma chambre pour commencer ce plan à quatre et restèrent dans la salle à manger pour faire moins de bruit et avoir plus d’espace je suppose. Mais même toutes portes fermées, entre les cris de la femme, les jurons et les éclats de rire des mecs, je participai à la scène. J’eus recours au même expédient que la veille pour diminuer ma tension. Je jouis et éjaculai ...
    ... abondamment sur mon ventre. Le patron devait dormir à la maison dans la chambre de mon frère, pour passer au hangar le lendemain matin et partir avec papa sur un chantier. Je ne fus pas surpris, en passant devant la porte de voir ce que je vis car, bien évidemment ils n’avaient pas fermé. Maman était à quatre pattes sur le lit et le type debout derrière la tirait énergiquement. Mon pyjama se tendit immédiatement et j’arrivais dans cet état à la cuisine où mon père prenait son petit déjeuner. - Bonjour p’pa. - Salut fiston. - J’suis passé devant la piaule. Y’a du sport ! Tu ne t’es pas joint ce matin ? - Couilles vides... gaule et pipe du matin. Et toi, tu t’es pas arrêté ? T’as la bite toute dure. Tu vas crever ton pyj’. - Pas le temps. Trop pressé. - Vas te faire sucer au moins... profite ! - Non, vraiment pas. Une bonne branlette devrait suffire. - Bon, ben tiens, branle-toi là-dedans. - C’est le bol de maman ! - Justement ! elle adore le café au sperme. J’attendis que mon père sorte et fis comme il avait dit. Je jutais dans le bol. Je repassai devant la piaule. Ils avaient changé de position. Jean-Michel était allongé sur le dos et maman le chevauchait. Elle me vit et me fit un petit coucou de la main. J’entendis l’orgasme malgré le bruit de la douche. Puis je repassai dans ma chambre et partis. Je ne les revis plus. Maman n’avait pas encore pris son café et le bol était toujours sur la table. Allait-elle vraiment faire ce que papa avait dit. Impossible de le savoir. Le soir je ...
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