1. Une famille sexuellement débridée (7)


    Datte: 03/06/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... lui ai pas demandé... mais tu n’as qu’à le prendre par surprise coomme maman a fait. Il a pas résisté. Gaulée comme t’es Patou, tu le feras bander au quart de tour. - Du coup on pourrait avoir un neveu, dit encore Gilles qui ne quittait pas son idée. - Faut que sa bite dépasse le stérilet alors ! répondit Patou - Oh mais j’y pense , continua Gilles. Je pourrai t’amener des potes aussi.. hein maman ? - Ouais ce serait cool... mais bien montés et clean et discrets quand même... hein Gillou ? Papa demanda : - Et qu’est-ce que tu vas leur dire à tes potes ? Venez à la maison pour baiser maman ! - Ben, euh... pourquoi pas. - Tu les vois eux te dire la même chose ? Alors ils te croiront pas. - Ah ouais... p’t’êt pas ! - T’as qu’à les piéger suggéra maman que l’idée semblait émoustiller. - Oh ouais, on se fait un strip et tu débarques... - Par exemple... - Auquel je me joindrais bien sûr, imposa papa. - Super, j’organise ça ! S’exclama Gilles aux anges. - OK, mais clean et bien foutus les gars , hein. - T’inquiète ! Et de fil en aiguille, papa et maman racontèrent leur soirée avec Jean-Michel et Thierry avant qu’on en vienne au sujet de fond, sujet de fion, qui baise ce soir ? Personne ne semblait avoir envisagé que notre soirée soit consacrée à autre chose. D’ailleurs, papa avait prévu les choses en ordonnateur des réjouissances sexuelles qu’il se proposait d’être. La table débarrassée, les ablutions prescrites par l’hygiène la plus élémentaire observées, nous disposâmes des ...
    ... matelas au sol dans le salon-salle à manger, pour avoir plus de place. On commença par les femmes. Elles devaient se gouiner pendant que nous regardions, spectacle auquel je suis peu sensible mais dont raffolent mon père et mon frère. Elles se mirent en ciseaux et se stimulèrent le clitoris au point de jouir très vite et de commencer à mouiller le matelas. Nous étions assis tous les trois autour à mater. De temps en temps, papa ou mon frère se levait pour venir caresser les seins, puis chacun reprenait sa place. - Ben, Tonio, tu bandes pas ! - Non, non, moi voir des meufs se brouter la pelouse, ça m’excite pas. - Qu’est-ce qui t’excite alors ? qyhhsj - Moi, répondis-je un peu vivement, ce qui m’excite, c’est de voir des bites en action, de bons gros morceau s’enfoncer dans les trous... - Ah si t’aime voir de la bite, regarde, v’la la mienne ! Et aussitôt, mon frère m’attrapa par la nuque et écrasa sa queue contre mon visage. Je me dégageai le plus vite que je pus mais pas assez rapidement toutefois pour rester indifférent à l’odeur de son sexe, car, il faut le dire, Gilles était le seul d ’entre nous qui ne s’était pas douché. Il sentait fort l’homme et je dois reconnaître que j’ai une véritable passion pour les odeurs de cul. Comme maman, je ne déteste pas sniffer un bon slip porté après une journée bien chaude et même les miens qu’il m’arrive de garder deux ou trois jours. Je dois avouer que j’ai souvent reniflé les culottes familiales et que j’ai une préférence pour les arômes ...
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