1. Le récit angoissexy de young-angel (1)


    Datte: 03/06/2018, Catégories: Hétéro

    ... Je devais être en train de somnoler quand j’ai senti quelque chose toucher ma jambe. Je m’étais redressée d’un bond, observant le bas du lit. La chambre était à peine éclairée par la lumière naturelle de la lune. J’avais réellement senti quelque chose. Soudain, un bruit sourd venant du coin de ma chambre attira mon regard. La panique m’envahit en une fraction de seconde lorsque je découvris une ombre semblant m’observer, juste à côté de mon armoire. Je devinai à peine les contours d’une forme humaine. Seuls deux points rouges brillaient intensément dans le noir. Instinctivement, j’attrapai le bras de mon amant pour le réveiller. Mais j’avais beau le secouer, impossible de le faire réagir. Je tournai à nouveau la tête vers l’angle de ma chambre. L’ombre avait maintenant disparu, laissant place à une chaise vide. Je tremblais de tout mon corps. Est-ce que j’avais fait un mauvais rêve ? Mon imagination me jouait-elle des tours ? Je tentai de me calmer, de mettre ça sur le compte de l’alcool. Mais alors que je cherchais dans la pénombre ma bouteille d’eau sur la petite table de nuit, une main m’attrapa le poignet pour me tirer hors du lit. Je tentai de résister en m’accrochant fermement aux draps du lit. Je ne voyais que les deux yeux rouges à quelques centimètres à peine de mon visage. La main serra plus fort mon poignet, je me sentis glisser lentement sur le matelas m’approchant dangereusement de cette ombre au regard maléfique. Cette main continuait de me broyer le bras, ...
    ... j’essayais de me débattre, pleurant à chaudes larmes, cherchant de ma main libre n’importe quoi pour me défendre. J’hurlais comme une folle, appelant à l’aide. Dans le noir complet, je donnai des coups de pied violent sans jamais parvenir à atteindre ma cible qui continuait de me tirer et me serrer le poignet toujours plus fort. dsrdwwgh A tâtons, je finis par attendre l’interrupteur de ma lampe de chevet. La lumière envahit immédiatement la pièce et la main qui me tenait prisonnière me lâcha aussi sec, me laissant lourdement retomber sur le lit. Mes yeux balayèrent le bas du lit. Personne. J’observais la pièce. Pas la moindre trace de cette ombre. Je devenais complétement folle. Cette silhouette noire, ses yeux rouges…Le diable ? Ce n’était pas possible. Je me tournai vers mon amant. C’est à ce moment que je compris pourquoi celui-ci n’avait pas bougé d’un pouce. Je découvris son corps inerte, transpercé de part en part par une large épée de métal. Je poussai un hurlement atroce. Le maitre-nageur était allongé immobile, l’arme plantée profondément dans sa poitrine, le regard pâle, rempli de terreur, du sang jaillissant encore de son torse. Je me mis alors debout et couru en nuisette jusqu’à la porte. Des larmes de peur coulaient sur mes joues, j’ouvris la porte et me mis à hurler dans le couloir. Je finis ma course au fond du couloir, percutant de plein fouet Erwan qui venait de sortir de sa chambre, réveillé par mes cris. -Emilie, mais qu’est-ce qu’il t’arrive ? Tu vas réveiller ...