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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°942)
Datte: 04/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme
... plaça à coté de moi. Il commença par me passer des lanières reliées à un mors au dessus de la tête. Je me reculais et lui crachais au visage … - jamais, espèce de sadique, je ne suis pas un chev... une violente paire de gifles vola et m'empêchait de finir ma phrase. - vous aviez raison Monsieur le Marquis, pas facile la bête ! ria-t-il en se tournant vers le Monsieur le Marquis. - Oui c'est ce que j'avais pressentit ! Le Comte réessaya, je ne lui en laissais pas le temps. Je voulu lui donner un coup de pied bien placé mais, les mains liées dans le dos, je fus déséquilibrée et reculais. Mon pied ne frappa que le vide. Monsieur le Marquis riait aux larmes de voir que le Comte avait fort à faire avec moi. Il s'amusait de plus belle quand, le Comte, voulant m'attraper par les cheveux faillit tomber lorsque je me penchais en avant et lui donna un coup de tête dans l'estomac en rugissant. - désirez-vous un coup de main Comte ? demanda Monsieur le Marquis entre deux éclats de rire, je crois qu'elle n'a pas été débourrée. Nous ne seront pas trop de deux pour la maîtriser…. N'attendant pas la réponse, il le rejoignit et passant derrière moi, me saisi la tête et me la tint fermement pendant que le Comte parvenait enfin à me passer les sangles. Quand il approcha les mains de ma bouche pour me forcer à l'ouvrir pour y mettre une espèce de mors, je mordis aussi fort que je le pu ce qui passa à ma portée. Le Comte poussa un cri de surprise et j'espérais de douleur aussi. Il voulu ôter sa ...
... main mais je ne lâchais pas la prise et accentua la pression. Il grogna. Je sentis un goût ferreux sur ma langue. Je savais qu'il saignait. Le Monsieur le Marquis tira sur mes bras si fort que je cru qu'il allait me les déboîter. Je lâchais la main du Comte pour crier. Il la secoua et rit en voyant les marques de sang que j'y avais fait : - quelle bête féroce que vous avez là Monsieur le Marquis ! Je vous félicite et je vous envie, ce sera un plaisir que de la dompter. Ce sont souvent les plus rétives qui deviennent les plus douces une fois qu'elles ont compris qui était leur Maître. Ils parvinrent à me poser le harnais de tête auquel était fixé le mors, qui venait se loger entre mes dents. J'étais folle de rage de me sentir si impuissante face aux deux hommes qui me transformaient pour leur plaisir en un animal de trait. Je m'agitais dans tous les sens, leur rendant la tâche difficile. Je savais que le mors leur permettrait de me guider et de plus il m'interdisait physiquement la parole. - Un seul mot prononcé constituera une faute grave. Me rappela Monsieur le Marquis. Le mors me faisait abondamment saliver, je ressentais une humiliation particulièrement intense de baver comme ça devant eux. Le Comte me présenta une drôle de paire de bottes. J'avais l'impression qu'elles avaient des fers. Il me les enfila et les laça lui même. Il ne voulait pas prendre le risque de me détacher les mains pour le moment. Les bottes montaient jusque sous mes genoux. Il fit passer entre mon dos ...