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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°942)
Datte: 04/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme
... et mes bras un corset agrémenté de sangles. Il serra très fort le corset autour de ma taille et avec des sangles diverses il prit soin d’encercler mes seins, mes fesses et mon pubis de manière aussi suggestive que contraignante. Il n'y avait pas de selle : - car on ne monte que rarement une ponygirl, expliqua-t-il à Monsieur le Marquis, elle vous servira surtout comme animal de trait. Il prit ensuite un plug anal terminé par une longue crinière. Je ne pus pas me soustraire à l'infamante pénétration qu'il m'imposa, m'emplissant l'anus sans préparation, je gémis malgré le mors qui me faisait comme un bâillon. Quand tout fut en place, Monsieur le Marquis me lâcha les bras et joua avec la queue. Je sentais les longs crins me frôler les jambes. Le Comte me pris les mains et les attacha grâce à des liens fixés sur mon corset au niveau de ma taille. Je ne pouvais plus les écarter de mon corps. Il fit un clin d’œil au Monsieur le Marquis, se saisit d'une espèce de plumeau rouge vif et le fixa à l'endroit prévu sur le harnais au milieu de mon front. - je l'ai choisi spécialement pour qu'il s'accorde avec votre donjon ! - Je vous en remercie et vous félicite de votre bon goût ! Hormis le harnais, mon corps était nu et offert. Enfin le Comte se saisit d'un petite boite et l'ouvrant la présenta au Monsieur le Marquis : - à vous le plaisir Monsieur le Marquis ! Monsieur le Marquis pris la boite. Son sourire s'élargit quand il vit ce qu'elle contenait . Il en sortit une clochette reliée à ...
... une pince. Il me caressa les seins me pinça et étira les mamelons pour les faire saillir. Quand il fut satisfait, il ouvrit la pince et la posa dessus. Je serrais les dents sur le mors le temps de m’habituer à la douleur. Il me fixa la deuxième sur l'autre mamelon : - Je trouve cette touche finale des plus ..."raffinée" Il pris les rênes et me fit tourner, faisant tinter les clochettes attachées à mes seins. - c'est vraiment une belle bête ! Voyons maintenant ce qu'elle vaut ? Ils sortirent de l'écurie. Monsieur le Marquis me pris par une sangle et me traîna à sa suite. Je ne savais plus que penser, je me demandais quel tableau j’offrais harnachée tel un animal. Le Monsieur le Marquis et le Comte semblaient, quant à eux, ravis du spectacle. Ils faisaient le tour de la ponygirl qu'ils avaient fait de moi. Ils me flattaient les flans, me palpaient les fesses, tiraient sur ma queue, faisaient tinter les clochettes, commentaient telle ou telle autre partie de mon anatomie comme ils l'auraient fait avec n'importe quel autre cheval. J'étais humiliée, rabaissée. Je ne pouvais que subir. Walter arriva au moment ou ils finissaient leur inspection. Il tirait d'une main, derrière lui, un petit sulky avec deux grandes roues et un siège suffisamment large pour que deux personnes puissent s'y asseoir et dans l'autre il avait un fouet. Mes yeux s’écarquillèrent quand je compris à quoi serviraient ces deux objets. Il passèrent dans mes mains liées au corset les bras du sulky et l’attachèrent ...