1. Initiations à l'Amour


    Datte: 05/06/2018, Catégories: fh, hh, hbi, jeunes, copains, grosseins, plage, piscine, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, pénétratio, init,

    ... peux t’embrasser ?— Bien sûr, ma Belle. Sacrée Charlotte ! Elle parle sans s’embarrasser, sans avoir de remords. Délicate attention que sa dernière question : elle aurait pu me rouler une pelle sans rien demander et je pense que cela m’aurait gêné. Mais là, rien du tout, je l’ai embrassée sans complexe, appréciant même le goût âpre et la consistance laiteuse. Durant cette embrassade, mes doigts viennent pianoter sur son doux minou avec pour idée d’aller y glisser ma langue un peu plus tard. Malheureusement, je n’aurais pas le loisir de le titiller : elle a un orgasme violent dont les cris s’étouffent dans ma bouche. Les pupilles humides me remercient et, enlacés, nous nous assoupissons. Vers onze heures, nous nous levons, chacun notre tour, nous déjeunons, passons à la salle de bain, bref un vieux couple un dimanche matin. Nous décidons d’aller nous offrir un petit repas en terrasse. Notre maigre pécule d’étudiant ne nous permettant pas d’aller au restaurant deux fois dans le même week-end, nous décidons d’aller manger dans un snack sur une petite place non loin d’ici. Elle est rayonnante, vêtue d’un pantalon blanc moulant merveilleusement bien ses fesses et ses cuisses ainsi que d’un chemisier court de la même teinte. Elle ne porte aucun dessous, pour ne pas avoir de marque disgracieuse, m’a-t-elle dit, avec un clin d’œil coquin. Les seins ballottent à chaque pas dans la chemise. Elle n’est pas transparente mais elle a omis de boutonner le haut, ce qui fait qu’en plongeant ...
    ... mon regard dans le décolleté je n’en perds pas une miette. C’est un des avantages d’avoir une amie plus petite que soi. Il n’y a pas grand monde, nous trouvons donc facilement une table libre à l’abri d’un parasol. Le repas est décontracté, la discussion plaisante, avec parfois quelques allusions sur nos coquineries. Il règne entre nous une connivence que je n’ai eue avec personne jusqu’à ce jour et même si cette relation vient juste de dépasser les vingt-quatre heures, nous nous accordons pour nous avouer que nous sommes faits l’un pour l’autre. C’est la conclusion de cette longue conversation, qui a duré jusqu’au milieu de l’après-midi. Personne n’a dit le mot qui fait trembler, personne n’a vraiment avoué ses sentiments, il est trop tôt pour cela, mais chacun savait qu’il avait trouvé son double. Après le sorbet, nous partons nous promener. Nous traversons la place de la Comédie, puis Antigone, pour se retrouver sur les bords emménagés du Lez. Des couples avec poussette, des amoureux, des cyclistes, des sportifs à pied ou en roller… c’est une promenade connue mais agréable. Nous tenant par les hanches, nous flânons sur l’herbe taillée. Ma main tombe souvent sur sa chute de rein où aucune couture, aucune poche, aucun élastique ne vient troubler la rondeur de son fessier. — Encore au bord de l’eau… Cela donne des envies ! dit la coquine.— Je ne serais pas contre le fait de nous trouver un petit coin tranquille.— En attendant, ne t’arrête pas de caresser mes fesses, j’adore ! ...