Deux heures de plaisirs aquatiques - Histoires de Sexe

Deux heures de plaisirs aquatiques

... éprouve déjà la dureté des mamelons. Très vite, une main quitte les deux monts pour s’aventurer sur son nombril, le centre d’un ventre parfaitement plat. Elle en profite pour se frotter et m’agacer, tantôt de ses mains, tantôt de ses fesses. Je ne résiste plus, il faut que les barrières tombent, et c’est moi qui prend l’initiative de faire tomber la première pièce pour découvrir ce qui m’apparaît comme un haut de bikini. Eh oui, elle m’a fait le coup de prendre un maillot, qui ne restera heureusement pas très longtemps en place. En un instant, cet ultime rempart a sauté et je me retrouve avec Jules & Jim au creux de mes mains. Fermes et doux, sensibles et réactifs, tout ce que j’adore. Passant des pointes vers la périphérie, je prends un malin plaisir à la faire monter dans son désir. Ses mamelons sont sensibles. Je veille à les ménager tout en les agaçant. Toujours de dos, je la fais se retourner et, sans précipitation, j’approche ma bouche. Elle le sait : j’adore feinter et prendre mon temps pour exacerber ses sens. Elle sait que je ne les prendrai en bouche que quand je sentirai qu’elle n’en a pas seulement envie, mais besoin. Quelques secondes, durant lesquelles je m’approche, je recule, je frôle, je caresse, qui lui semblent une éternité. Enfin, dans un râle profond, elle m’exprime sa reconnaissance d’avoir embouché la première de ses deux framboises, ensuite la seconde. De taille et de couleur, ses deux fruits me semblent les meilleurs de la terre. Et je reprends ma ...

... sarabande folle autour d’eux. J’agace, je titille, j’aspire, je lèche, j’embouche, j’étire, je lâche, je reprends… Sans crier, mais en feulant, elle m’exprime sa satisfaction et son désir que je poursuive avec d’autres parties de son corps. Même si je les connais déjà bien, je ne me lasse pas de caresser ses fesses, son cul. Oui, elle a des fesses de rêve. Fermes, dures, rebondies, au sommet de belles et longues jambes. Si, pour l’instant, elles sont encore moulées dans son jean tel une seconde peau, mon envie de la toucher là devient irrépressible. Elle s’en rend compte, mais souhaite d’abord que moi, je me soulage de quelques pièces. Mes chaussures et chaussettes ont déjà disparu depuis longtemps. C’est mon pull et ma chemise qu’elle s’empresse de me retirer pour, à son tour, emboucher mes mamelons. Eh non, il n’y a pas que chez elle que c’est sensible. Et elle s’y prend bien la garce : un coup j’aspire tendrement, un coup je frôle et je caresse. Ses mains ne sont pas en reste. Toujours en dessous de la ceinture, elles passent de mes fesses à mon sexe et retour. Il règne dans la pièce une charge érotique que j’ai rarement ressentie. La piscine et le jacuzzi amplifient cette sensation à un point rarement ressenti jusqu’alors. — Je n’en peux plus, râle-t-elle à mon oreille. J’en ai trop envie. Plus qu’une supplique, c’est un ordre auquel je m’empresse d’obéir pour découvrir la deuxième pièce de son maillot. Sans avoir touché la surface de l’eau, il est déjà trempé. Il n’en faut ...