Deux heures de plaisirs aquatiques - Histoires de Sexe

Deux heures de plaisirs aquatiques

... quelques mouvements de mes doigts et de ma bouche, et elle explose. Je reçois, comme une offrande, son liquide que je m’empresse de déguster. Mais vite, je sais que c’est de mes bras et de tout mon corps qu’elle a envie. Tous les deux, nous sommes des adeptes des câlins. Et rien ne lui fait plus de bien que de nous sentir blottis l’un contre l’autre. Toujours engoncé dans mon futal, je la rejoins et la caresse tendrement. Plus rien d’érotique, rien que la complicité de deux amants. Même si je n’ai pas libéré mon énergie, mon plaisir a été à la hauteur du sien. Géant ! — Déshabille-toi, me chuchote-t-elle. J’en ai encore envie. J’en ai connu des insatiables, mais elle fait partie du peloton de tête. Nous avons encore une heure et demie pour, enfin, découvrir les joies de l’endroit. Le jacuzzi nous attend et il ne nous faut que quelques secondes pour activer les bulles et nous immerger. L’eau est chaude et le pétillement est une incitation à reprendre nos caresses. Elles sont à nouveau mutuelles : pour la première fois, elle m’a prise complètement. Telle une main de fer dans un gant de velour, elle me tient par ce que j’ai de plus sensible. À mon tour de succomber, de râler et de me laisser faire. — J’ai laissé les préservatifs sur la table à la maison, me lâche-t-elle.— Pas grave, on fera sans, lui répondis-je sachant très bien que certaines barrières ne seraient pas franchies. En effet, à choisir entre une excitation ultime sans protection et une pénétration protégée, j’ai ...

... toujours préféré la première option. Tous les deux couchés dans cet immense jacuzzi, nous nous caressons sans cesse : aucune partie du corps n’échappe aux caresses mutuelles. J’ai ses petits orteils en bouche tandis qu’elle me masse tout l’entrejambe. J’empaume ses seins, et titille ses mamelons, tandis qu’elle me gratte les fesses avec les ongles. N’en pouvant plus, je m’allonge entre ses jambes comme si j’allais la pénétrer. Elle a compris et me prend fermement pour m’amener contre son sexe. L’eau, même pétillante, n’arrive pas à évacuer ses sécretions. C’est donc avec beaucoup de facilité que je m’allonge contre elle et me frotte. Je devrais plutôt dire que, même si je suis au-dessus, c’est elle qui mène les débats et me prend conre elle. C’est à celui et à celle qui s’exprime le plus fort. Ne m’a-t-elle pas dit à quel point elle adore mon « engin » ? En effet, la nature m’a doté d’un sexe de dimensions agréables. Sans me prendre pour Rocco, j’ai souvent eu des compliments sur sa taille et sa forme, qui semblent convenir idéalement aux mains, à la bouche, au sexe de ces dames. Ni trop gros, ni trop long, fort nervuré, et garni à sa base des deux attributs traditionnels, il a plus d’une fois servi de « jouet » lors de joutes physiques mémorables. Je n’étais alors, pour mon plus grand plaisir, qu’un simple jouet. Même s’il était moins pratique qu’un gode, ma compagne de l’instant se délectait de sa disponibilité, de sa vigueur et de sa fermeté tout en douceur, en périphérie ou ...