Deux heures de plaisirs aquatiques - Histoires de Sexe

Deux heures de plaisirs aquatiques

... à l’intérieur de son sexe, pour l’emmener vers des zones de plaisir ultimes. Dans le jacuzzi, ce ne sont plus que râles et gémissements, même pas couverts par le bruit des bulles, mais au contraire amplifiés par l’espace qui nous entoure. N’en pouvant plus, je la retourne, la fait s’appuyer sur le bord de la piscine à bulles, me replace derrière elle et glisse mon sexe contre le sien. Grâce à son divin nectar, il coulisse encore mieux, passant à proximité de ses deux orifices pour agacer son clitoris. Je suis prêt de jouir, mais je veux l’entendre feuler. Après quelques minutes de va-et-vient, ce ne sont plus que des cris qui résonnent et je la sens se contracter. Un ultime spasme, elle se retourne et elle s’écroule dans l’eau. C’est de tendresse et de calins qu’elle a envie à présent. Je m’allonge près d’elle et laisse mes mains caresser sa peau, en évitant les zones devenues trop sensibles ; doucement, je la laisse redescendre, reprendre ses esprits… et profiter. D’ordinaire peu encline à s’exprimer, elle m’a offert à quelques minutes d’intervalle le plus beau que ce qu’un homme peut recevoir : l’abandon d’une femme suite au plaisir. Et moi, me direz-vous ? De nature altruiste, j’avais pris un plaisir immense, sans pour autant que « cela ne sorte ». Me connaissant bien, je savais d’une part que je pouvais ainsi poursuivre, mais surtout, que le bouquet final serait à la hauteur de ma contention. Nous étions là depuis plus d’une heure et la soif se faisait ressentir. Il ne ...

... nous en fallait pas plus pour faire un break. — Super, le champagne est servi, me dit-elle avec un petit clin d’œil. Et il y a même quelques chips. Après l’épisode du jacuzzi, et pendant que je débouchais la bouteille, elle avait plongé dans la piscine et me regardait de ses yeux de braise. Si je savais qu’elle adorait les bulles de champagne, et que ça lui provoquait de nouveaux élans, j’ignorais qu’elle serait coquine au point de me demander de « réchauffer » son breuvage. Même si je n’avais toujours pas joui, de penser à autre chose – déboucher la bouteille – m’avait à peine dégonflé. Mais ses propos eurent le don de me redonner de la vigueur. C’est donc au garde-à-vous que je me présentai avec sa flute de champagne. — J’ai envie de te boire aussi, me dit-elle.— Ainsi ? répondis-je en approchant mon sexe de son verre.— Hummm, j’adore… J’en mouille à nouveau. Viens boire chez moi Il ne m’en faut pas plus pour la rejoindre dans la piscine et, pendant qu’elle boit ses bulles, je plonge pour boire son nectar. Je ne sais si vous avez déjà tenté cette expérience sous l’eau, mais c’est loin d’être confortable. Heureusement, elle le comprend et tout en appuyant ses épaules sur le bord de la piscine, elle relève son bassin et l’amène à hauteur de mon visage. — Vas-y, j’ai encore envie de sentir ta langue partout. Tantôt ferme, tantôt caresse, toujours espiègle, ma langue passe des cuisses à son clito pour effleurer son anus. Bientôt les doigts qui avaient pris possession de ses ...