Une bonne blague
Datte: 06/06/2018,
Catégories:
Lesbienne
... coucher! Je règles mes comptes avec cette sale voleuse! Je me trompe ou ça fait cinq bonnes minutes que tu es là? Hélène ne dit rien. Elle se contenta d'opiner du chef. Finalement, elle n'avait plus trop envie de se dénoncer. Cette femme était folle à lier et elle n'avait aucune envie de prendre la place de la pauvre Coralie... A cette pensée, elle se mit à frissonner de peur et ressentit un noeud dans le ventre. – Eh bien tu tombes très bien. Ecartes-lui ses lèvres, je vais lui planter une épingle sur le clitoris. Hélène tremblait de plus en plus, la sueur lui coulait le long de l'échine... D'un côte avait envie de hurler la vérité pour faire cesser le supplice de cette pauvre innocente, mais de l'autre elle était morte de peur à l'idée de la réaction de la surveillante... – Dépêche toi, Hélène, sinon... Hélène s'appliqua, mais visiblement, la surveillante n'était pas satisfaite. – Va chercher une bouteille de vinaigre. On va lui en faire boire et lui désinfecter le sexe avec... Hélène sortit du gymnase, mais ne se rendit pas à la cuisine. Elle marcha le long de l'allée, vers la sortie. Fuir, fuir le plus loin possible pour échapper à cet enfer. Les mains sur les oreilles, Hélène se mit à courir sur la route en criant. Dans sa tête, les hurlements de Coralie sous la torture alternaient avec une autre voix, sa voix à elle, qui annonçait fièrement à ses copines la "bonne blague" qu'elle avait faite... Elle marcha des heures et des heures, s'endormit dans une clairière, se ...
... réveilla en pleine nuit, puis marcha de nouveau et se perdit. Elle imaginait déjà dans le journal le gros titre qui barrerait la première page : LA "BONNE BLAGUE" TOURNE AU CAUCHEMAR : UNE ADOLESCENTE TORTUREE TOUTE UNE NUIT POUR UN BILLET DE 500 FRANCS... Perdue dans ses pensées, elle ne vit pas arriver dans la nuit l'énorme camion qui, parti d'on ne sait où, allait vers nulle part... Le chauffeur, qui somnolait à moitié, l'aperçut, mais trop tard. L'impact la projeta dans les fourrés. Dans le gymnase, Coralie était blottie dans les bras de la surveillante. La couvrant de baisers affectueux, celle-ci lui demanda : – Ça va? Je ne t'ai pas fais trop mal? – Tu sais bien que j'adore être humiliée et punie! Si les filles de la classe avaient pu voir la scène, elles auraient trouvé une Coralie bien différente de celle qu'elles connaissaient. Coralie avait été "recommandée" à la surveillante par l'infirmière qu'elle avait séduite lors de la visite médicale. Jouer à la petite gourde lourdaude dont il est si facile d'abuser était sa manière, très efficace, d'obtenir le plaisir qu'elle voulait... Les filles de la classe ne se doutaient pas un instant que plus elles l'humiliaient, plus elle aimait ça. Peut-être qu'après cette journée, les filles allaient enfin comprendre qu'il étaient de temps de passer à des taquineries plus sexuelles... Quant à Hélène, elle ne saura jamais que si la punition avait tourné au strip-tease public, c'était à la demande de Coralie! L'idée de filmer son « ...