1. Plaisir sapphique avec une quadra (3)


    Datte: 07/06/2018, Catégories: Lesbienne

    Véronique se baissa et mit sa tête au niveau de mon sexe trempé. — Ici aussi tu es toute trempée. Je vais arranger ça ne t’inquiète pas ma chérie. Elle prit le torchon et le frotte sur ma fente qui apparaissait moulée à travers le tissu bien trop fin pour masquer ses reliefs érotiques. Le frottement tombe sur mon clitoris qui ne peut qu’être excité et dressé devant un tel tableau. Je commence à haleter malgré moi. — Non … Oh… Véronique…. Arrêtez s’il vous plaît… Je peux le … Humm… faire toute seule. Soupirais-je sans grande conviction. — Non ne t’inquiète pas c’est de ma faute je répare c’est normal. Dit-elle le plus normalement du monde. J’étais en train de me faire branler par Véronique sans qu’elle ne soit d’après moi au courant et cela me faisait un bien fou, mais il ne fallait pas que je jouisse. Je mouillais de plus belle ce qui surprit Véronique qui me signifia que le tissu dégorgeait beaucoup d’eau. Elle me dit que je ne m’étais pas ratée. J’étais toute rouge et j’avais des sueurs au front tant je me retenais d’éclater de plaisir devant la besogne de cette femme à genou devant moi. Soudain, on entendit la porte de la salle de bain s’ouvrir et Véro s’arrêta net et se releva. — J’ai essayé d’enlever le plus gros. Me dit-elle avec un large sourire. Tu devrais retourner dans ta chambre maintenant pour te changer ce sera le mieux. C’est beaucoup trop trempé pour que tu restes dans cet état. Tu vas attraper la mort sinon. — Oui vous avez raison. Bredouillai-je encore un ...
    ... peu sur les rotules de ce qui venait de se passer. Bonne nuit à vous. — Bonne nuit Clarisse. Le feu aux joues, je passai devant Francis d’un pas décidé en lui souhaitant une bonne nuit sans croiser son regard. J’entendis avant de refermer la porte que Véronique expliquait la situation. Une fois dans ma chambre, je me déshabillai au niveau du bas et constatait en tirant sur mes lèvres l’étendue des dégâts. Ma chatte était brûlante et surtout dégoulinante. Je récupérai un peu de cette mouille de mon minou bien baveux avec mes doigts que je suçais. Le goût était encore plus fort que tout à l’heure, mais j’y replongeai pour en reprendre. Je repensai à la position de Véronique et à sa proximité de mon sexe. Bien évidemment, je me mis à l’imaginer me léchant à travers le jogging dans un premier temps et puis sans pour finir. Je voyais déjà sa langue sur les replis rosés tous humides et collants. Je pensais à ma main qui tiendrait sa tête pour qu’elle me pénètre encore davantage quitte à tirer légèrement sur sa chevelure très volumineuse pour son âge. fgvflluo Je n’en pouvais plus, mes doigts ne me suffisaient plus. Il me fallait quelque chose dans la chatte. Je cherchai dans ma valise à la recherche d’un sexe de substitution. Une petite bouteille d’eau allait faire l’affaire. Je posai le bouchon à l’entrée de ma grotte et écartai du mieux que je pus mes lèvres pour faciliter la pénétration. Mes sécrétions abondantes auraient, en fait, suffi. Je reste à l’embouchure de mes lèvres pour ...
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