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Plaisir sapphique avec une quadra (3)
Datte: 07/06/2018, Catégories: Lesbienne
... éviter de me dépuceler avec cette bouteille ; ce serait dommage, mais le fait de sentir cet objet dur aux portes de ma virginité me procurait un maximum de sensations des plus agréables. Une envie de me pénétrer davantage était présente, mais je ne voulais pas et réussis à me raisonner. Je réfléchis un petit moment en caressant mon clito tout dur et tout gonflé. La bouteille était recouverte de mes émanations coquines ce qui en faisait un très bon lubrifiant ; je décidai de poser la bouteille un peu plus bas sur l’origine de ma rosette. Je poussai légèrement ce qui me donna des frissons quasi immédiats. Le bouchon passa l’entrée de mon cul et c’était comme une sensation agréable qui s’en dégageait. Je continuai à pousser et la bouteille rentra sans difficulté dans mon cul sur cinq centimètres. Je commençai des petits allers-retours pour bien faire le chemin et pour enfoncer petit à petit plus profondément la bouteille. Je faisais de plus en plus de bruit ayant du mal à retenir mon plaisir de s’exprimer. Pour ne pas faire trop de bruit, je me mis le cul en l’air et la tête dans l’oreiller quitte à suffoquer légèrement ce qui me fit tourner la tête. La bouteille allait et venait dans mon cul avec tant de facilité que ma chatte était en feu débordante de plaisir. J’accélérai le rythme si bien que je fus prise par un orgasme. Je m’endormis comme cela avec la bouteille dans le cul qui finit par retomber dans la nuit… ...
... Je me réveillai le lendemain matin et décidai de reprendre une douche en sentant mon odeur matinale. Je repassai devant le string de Véronique, mais choisis de ne pas me laisser tenter par une respiration parfumée enivrante. Je m’habillai d’une robe légère et je fis le choix d’oublier de mettre une culotte, car cela m’excitait de me dire que Véro pouvait voir ce spectacle au détour d’un regard. J’oublie de faire pipi et me dirige directement vers la cuisine. Véronique en peignoir me sourit. — Bien dormi ? me demanda-t-elle. — Oui très bien merci ! dis-je enjouée — Assieds-toi ; je vais te servir le petit déjeuner. — Merci beaucoup. — Plutôt thé ou café ? — Café pour m’exciter un peu. — Tu as besoin de ça ? — Euh oui tous les matins. Bredouillai-je un peu déroutée en me rendant compte du verbe choisi. Tout est prêt et je prends une petite cuillère disposée sur la table, mais je l’échappe et elle se retrouve sur le carrelage. — Oh ne te penche pas je vais la ramasser. La voilà qui se retrouve devant moi et ma robe est légèrement remontée ce qui découvre ma chatte. Elle en ruisselle. Véro me tend la cuillère, mais son peignoir s’ouvre à ce moment-là laissant échapper un sein lourd et laiteux. Ah le rêve. Mon sexe s’enflamme et l’envie de pisser que j’ai oublié d’assouvir devient incontrôlable. Je sens alors couler un liquide chaud sous mes cuisses trempant ma robe et Véronique fut surprise de voir autant en couler.