1. À cocu, cocu et demi


    Datte: 07/06/2018, Catégories: 2couples, extracon, cocus, jalousie, dispute, noculotte, intermast, Oral pénétratio, champagne,

    ... confidences entre femmes, continua-t-elle en me gratifiant d’un sourire enjôleur et tout en continuant son insupportable masturbation.— Ben ça alors… Et vous vous faites souvent des confidences aussi chaudes ? Qu’est-ce qu’elle t’a dit encore ? Nathalie, minaudant, eut un sourire malicieux et continua : — Eh bien… par exemple, elle m’a avoué aussi que tu adores faire le soixante-neuf, dit-elle avec un clin d’œil.— Ben dis donc, vous n’avez pas des conversations de bonnes sœurs, toutes les deux !— Elle m’a dit aussi que tu préférais faire l’amour le matin, alors qu’elle est plutôt du soir…— De plus en plus étonnant ! Les confessions de Nathalie me laissaient sans voix. Je n’aurais jamais pu imaginer ma femme et elle, toutes les deux mamans, toutes les deux issues d’une famille bourgeoise, parler de sexe entre elles aussi librement. Je tombais littéralement des nues. Mais Nathalie ne me laissa pas le temps de méditer sur ses nouvelles révélations : — Maintenant, il faut que je goûte à ce joli sucre d’orge, me dit-elle avec regard de gourmandise… Carole m’a dit aussi que tu adorais les fellations… Je me trompe ? Sans attendre la réponse, elle décalotta complètement mon gland d’un geste lent et assuré, puis elle se pencha sur moi pour déposer un baiser dessus. Enfin, je sentis mon membre soudain enveloppé de sa bouche chaude et humide. Nathalie entama alors une énergique fellation et je sentis ses lèvres brûlantes glisser sur ma verge en un vigoureux mouvement de va-et-vient, ...
    ... sa langue jouant en même temps avec mon gland… — Tu sais y faire, petite dévergondée, lui déclarai-je. Une vraie pro ! Concentrée sur son ouvrage, elle ne releva pas et continua. Je soulevai ma chemise pour mieux sentir la douce caresse de ses longs cheveux sur mon bas-ventre. Dans la pièce silencieuse, on n’entendit bientôt plus que des bruits de succion et les gémissements de mon extase. Ma main gauche vint alors englober son sein tandis que je caressais ses cheveux de l’autre, lui appuyant de temps en temps sur la tête pour la forcer à avaler ma bite plus encore. Mais je ne pus tenir longtemps à ce régime et je lui demandai bientôt grâce : — Arrête ! criai-je dans un souffle. Tu vas me faire éjaculer !— Doucement, mon beau, me dit-elle en se relevant. Mais c’est qu’il est drôlement sensible de la queue, mon bel Antoine ! Encore une fois, son langage de plus en plus cru m’interpella. Pourtant, cela m’excitait de plus en plus et m’incitait même à employer la même vulgarité : — Tu suces mieux qu’une pute, lui dis-je sans ambages. J’ai bien failli perdre connaissance…— Carole ne fait pas les pipes aussi bien ?— En fait, tu sais… je crois qu’elle n’a jamais vraiment aimé ça.— Pourtant, avec Julien, elle va devoir s’y mettre. Parce que lui, il en redemande ! Si je l’écoutais, je le sucerais trois fois par jour !— La salope ! pensai-je tout haut, m’imaginant la scène.— Oui, mais maintenant c’est match nul, un à un… Nous sommes deux salopes ! dit-elle en riant. Tu n’crois pas ?— ...
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