À cocu, cocu et demi
Datte: 07/06/2018,
Catégories:
2couples,
extracon,
cocus,
jalousie,
dispute,
noculotte,
intermast,
Oral
pénétratio,
champagne,
... Coquine ! Soudain poussé par de violents désirs de viol, je glissai brutalement ma main sous sa robe. Consentante, Nathalie répondit immédiatement en écartant généreusement les cuisses. Je la pénétrai de nouveau de mon index, bientôt accompagné de mon majeur. Entre-temps, elle avait repris sa masturbation, lentement, mais avec d’amples mouvements. — Je n’en peux plus, Nathalie. Tu m’as tellement excité que je sens que je vais faire une bêtise, lui déclarai-je dans un sursaut de conscience.— Aurais-tu encore des scrupules ? me dit-elle en riant.— Des scrupules ? Bien sûr que non. Au contraire, je te désire comme un fou et…— … et tu as envie de me baiser. Et alors, où est le problème ?— Eh bien, je dois te dire que je n’ai pas de préservatif à la maison. Évidemment, je n’avais pas prévu…— Je m’en fous ! J’assume toutes les conséquences ! coupa-t-elle.— Et si tu tombais enceinte ?— Je prends la pilule. Elle relâcha ma verge, se laissa retomber sur le dossier du canapé et releva complètement sa robe, exhibant impudiquement son intimité à mes volontés. Son sexe nu, où s’affairaient toujours mes doigts impatients, était complètement trempé de sa cyprine. Les yeux clos, le visage rayonnant de bonheur et semblant dans un état second, elle s’offrait à moi. — Moi aussi j’ai envie de toi, murmura-t-elle dans un souffle. Tu me rends folle, Antoine ! Puis, rouvrant les yeux, elle me susurra : — Enlève ton pantalon maintenant, beau mec. Je veux te voir nu ! Touché par ce « beau mec » qui ...
... ne faisait que renforcer mon désir, je me levai, me déchaussai et me débarrassai vite de ce pantalon désormais inutile. — Pendant que tu y es, enlève aussi ta chemise.— Madame est exigeante ! Je déboutonnai alors ma chemise, laissant petit à petit découvrir mon poitrail. Quand je la jetai au sol, je n’avais plus sur moi que mon boxer d’où sortait ma bite en pleine érection. — Tu es pas mal, me dit-elle. Grand, mince, l’allure sportive, exactement comme j’aime les hommes. Tu es aussi beau que pendant nos vacances à Royan, l’an dernier.— Ça alors, j’étais loin de me douter que tu me matais à ce moment-là… Idiot que j’étais, je n’avais même pas remarqué.— Te mater, c’est beaucoup dire. Disons que j’ai été séduite par le beau mec en maillot de bain sur la plage… Sauf qu’alors tu ne bandais pas tant, continua-t-elle en éclatant de rire.— Petite coquine ! Je me souviens aussi de ton petit maillot deux pièces qui te couvrait à peine… J’en avais même fait la réflexion à Carole : « Tu as vu comme Nathalie est super sexy avec son maillot minimaliste ? » Elle m’en avait fait une vraie crise de jalousie. Elle était furieuse.— Je ne m’imaginais pas que ce maillot t’avait fait un tel effet, me dit-elle en minaudant. Je ne me doutais pas non plus qu’il avait déclenché une crise de couple. Nathalie était plus désirable que jamais, lascivement étendue sur le canapé, sa robe si négligemment retroussée, ses seins offerts comme deux beaux fruits, son sexe nu et sans défense. Tout était pour moi ...