Miss Catastrophe
Datte: 21/07/2017,
Catégories:
ffh,
frousses,
vacances,
Voyeur / Exhib / Nudisme
humour,
québec,
camping,
... cessa et la porte de la roulotte s’ouvrit soudainement, heurtant le mur avec fracas. On regarda tous les deux dans cette direction. J’aurais tout donné pour filmer ce que je voyais. La belle grande rousse sortait de la douche, déjà enveloppée dans une courte serviette de bain humide qui cachait à peine son sexe et sous laquelle ses deux mamelons pointaient terriblement, le droit plus que l’autre. Wow ! Tête penchée vers l’avant, elle ne m’avait pas vu et séchait ses longs cheveux avec une petite serviette ce qui faisait remuer ses seins étirés et lourds. — Maudite porte ! lâcha-t-elle à personne en particulier. Je me mis à saliver comme un naufragé perdu en mer depuis une semaine qu’on a rescapé et qui se voit offrir un gros steak bien cuit avec des petits oignons, mais sans pouvoir y toucher. — Ma tante, vous avez amené de la crème pour le corps ? J’ai oublié la mienne ! demanda-t-elle toujours tête baissée.— Ouais, dans ma valise dans l’auto. Quoi d’autre ?— Ben, pas mal de choses, je pense ! fit-elle en riant.— Je l’avais comme prévu, ma grande. Tu veux ça tout de suite ?— Non, ça presse pas ! Je sais pas ce que je ferais sans vous, dit-elle en se séchant toujours les cheveux les yeux fermés.— Moi non plus !— Les yeux me piquent, ça doit être l’eau de la rivière.— Ça doit ! répondit Pierrette les yeux rieurs en me jetant un coup d’œil complice. Je soupirai en regardant la belle grande animatrice de 50 ans qui ne les paraissait pas du tout. J’admirai ses longues jambes à ...
... peine bronzées et sa poitrine, sans m’en lasser, puis elle releva la tête en repoussant d’une main ses cheveux derrière son dos, les yeux toujours fermés. Ça souleva un peu la serviette, juste assez pour que j’aperçoive une partie de son sexe entouré de petits poils noirs. J’eus l’impression de recevoir une décharge électrique, en écarquillant les yeux. Elle souleva sa chevelure rousse, que je savais teinte maintenant, en chignon et y enroula la petite serviette et l’attacha, toujours sans savoir que j’étais là. Cette fois, les deux bras en l’air comme elle était, la serviette leva un peu plus, je vis sa vulve au grand complet et sa toison brun-noir, ovale, aux longs poils lisses et mouillés. Elle avait de belles grandes lèvres vaginales brun-rouge et gonflées. Je faillis m’étrangler. Pierrette, elle, s’amusait follement, retenant un grand fou rire, tenant sa tasse de café à deux mains. Puis Marie baissa la tête en ouvrant les yeux, toujours sans nous regarder et posa ses mains sous ses seins et soupira très fort en se les soulevant et les pressant. Ils débordaient de ses mains sous la serviette et ses mamelons pointèrent plus. Ma circulation sanguine redoubla de vitesse et ma bite enfla, mais sans bander. — Seigneur ! fit-elle fixant ses seins. Y me tombent aux genoux, ma tante, c’est décourageant ! Pis y sont tout mous, moi qui les avais si durs !— Bienvenue dans le club, Marie ! lâcha Pierrette les yeux pleins d’eau. C’est ça la cinquantaine ! Que veux-tu, ma grande, on ...