Miss Catastrophe - Histoires de Sexe

Miss Catastrophe

... seins. Outch, mes boules,maudit ! Chut tombée en plein dessus. Rouge de honte, elle voulut frotter la terre noire collée sur la serviette, mais celle-ci se détacha et tomba à ses pieds, la laissant nue comme un ver. Cette fois, éberlué, je vis tout ce qu’il y avait à voir et c’était magnifique. Elle lâcha un petit cri en cachant ses seins avec son bras gauche et se pliant en voulant rattraper la serviette, mais en même temps que moi, par réflexe, et nos fronts se heurtèrent violemment. À moitié assommé, je tombai sur le cul, renversant du café, elle sur une main et les genoux, le cul en l’air juste devant moi. La vue panoramique que j’en avais finit de m’étourdir. Gros plan sursa plote et son anus rosé et plissé. Mon cœur menaçait de lâcher encore une fois. Elle s’assit par terre et remit la serviette avant de se lever et me tendit la main, riant comme une folle en se frottant le front. Une fois debout, je me le frottai aussi, j’allais avoir une grosse bosse. — Désolée ! fit-elle entre deux fous rires, en me reprenant la tasse.— Ça va ! fis-je abasourdi.— Ouais, je pense que là, vous avez tout vu, hein ! C’est assez pour aujourd’hui !— Je pense que oui ! Pierrette était morte de rire en regardant Marie sucrer son café et en pendre une grande gorgée. — Ah ! que c’est bon ! Merci, Paul ! fit-elle les joues rouges et encore mal à l’aise.— Tout le plaisir a été pour moi !— Ça, j’imagine ! fit-elle rieuse, les yeux presque fermés. Ouf ! J’ai mal aux boules, aux genoux et au ...

... front. Tabarouette ! C’est dangereux, le camping !— T’es un vrai danger public, ma grande ! lâcha Pierrette.— Ouais, ouais !— Bon ! Je pense que je vais y aller, avant de me taper une crise cardiaque ! Elles rirent de plus belle, puis je me rappelai l’offre de Pierrette à propos de l’épicerie. Suzanne était partie avec l’auto, évidemment. Je sortis mon portefeuille et deux billets de 20 dollars que Marie me vola aussitôt en disant : — Wow ! 40 $, pour le show que j’ai donné, c’est bon ! Pierrette s’étira et lui vola à son tour. — Non, ça c’est pour la pipe de tantôt, c’est dans les prix je pense. Je les regardai un peu découragé, tandis qu’elles riaient encore à mes dépens et dis : — Vous êtes toujours comme ça, toutes les deux ?— Tout le temps ! fit Marie reprenant de l’assurance. Pis, c’est pour qui, l’argent ? Je pense qu’on mérite d’être payées toutes les deux. Hein, ma tante ?— Ben oui, Paul, franchement.— C’est pour l’épicerie, deux bouteilles de vin blanc, SVP. Si vous allez toujours au village ! Merci et bonne journée, mesdames. Je fis quelques pas et j’entendis : — Ouais, c’est vraiment des belles petites fesses, ma grande.— Les miennes ou les siennes.— Les deux, voyons ! Plus d’érection, Paul ! cria Pierrette quand je rentrai dans la rivière. C’estplate, ça ! Je les regardai rire et leur criai en m’en allant… — Faites attention, les filles, on a vu un ours tantôt. Bye ! Là, elles ne riaient plus du tout et surveillaient les bois. Un peu de vocabulaire…Camisole : maillot ...