Nadine secrète... - Histoires de Sexe

Nadine secrète...

... les coups de reins qui accélèrent petit à petit, jusqu’à en devenir des coups violents, frénétiques. Et elle aimait ça, elle tenait ses cuisses avec les mains, rassemblées et à en coller ses genoux sur ses seins. Elle tendait son cul pour qu’il ait tout le loisir de pousser au plus profond, et elle le regardait, il avait les yeux sur sa queue qui entrait et sortait, il était comme fasciné par ce qu’il faisait, il ne s’occupait pas une seconde d’elle, elle n’était qu’un trou sale qu’il baisait, et cette idée la fit jouir de suite. Si fort qu’elle le chassa de son cul, mais il lui remit sa sale bite de suite dedans. Il l’encula aussi en levrette, elle lui tendait son cul, ouvrait ses fesses avec les mains, elle était heureuse de la vulgarité de ses gestes, ça y est-elle était une grosse salope, et un homme le voyait et en profitait.Le type ne dédaignait pas reprendre des forces, c’est que ce n’était pas un grand sportif, il soufflait comme un gros porc essoufflé, mais en profitait pour la faire sucer, ce qu’elle s’empressait de faire, docile, soumise et jouisseuse, même sa merde dans la bouche ne l’arrêtait pas d’être un objet sexuel. Il était endurant l’air de rien, au bout d’une bonne heure il n’avait pas jouis, comme si c’était tellement excitant que sa bite gérait le temps, voulait que ça dure. C’est après qu’il soit repassé dans chacun de ses trous, plusieurs fois, et qu’il eut l’envie de se finir sur elle, comme sur une sale pute, en plein visage, en la faisant ...

... s’agenouiller sur le sol, la bouche grande ouverte, et qu’il la laissa enfin, épuisé, qu’elle regarda machinalement sa montre, il l’avait baisé plus de trois heures. Il avait son compte, il alla se laver une peu la bite au lavabo devant le lit, elle le regardait, il était vraiment laid, le corps gras, les fesses molles, du poil dans le dos et sur les épaules, hideux, jamais elle n’aurait cru coucher avec un tel homme. Il se rhabilla en parlant, il était tout content, la félicité, disait qu’il n’avait jamais connu une salope comme elle, lui donna son numéro de téléphone sur un bout de papier, pour remettre ça. Il décrivait ses meilleurs moments, ce qu’il avait vu d’elle, et elle a aimé ça, c’était d’une grossièreté étalé au grand jour, encore nue, les bras derrière elle, assise sur son cul, sur le sol, elle le regardait parler en bougeant ses cuisses de gauche à droite, elle était heureuse et satisfaite. Il est parti, elle s’est lavé, à touché sa chatte et son cul, c’était défoncé, surtout son cul qui restait comme ouvert, comme si les sphincters ne voulaient pas retrouver leur forme initiale. Elle s’est rhabillée, remaquillait et à son tour elle est partit. Dans le couloir il y avait un homme, il la regarda passer et avant qu’elle ne prenne le tournant menant à l’escalier il lui lança « Dis donc t’as couiné comme une grosse pute ! C’était bon on dirait, si tu veux j’ai ma grosse bite à vider ! ». Elle a souri mais ne s’est pas arrêté, elle en frissonna de savoir qu’un homme avait ...