Suis-je candauliste ?
Datte: 08/06/2018,
Catégories:
fhh,
fhhh,
cocus,
hotel,
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jalousie,
noculotte,
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
... puis t’es mon mari, évacue-t-elle avec impatience. Pas de souci de lubrification, l’endroit l’est abondamment. Je pars à la recherche du clito et le repère, le roule, l’écrase, l’étire et le martyrise comme jamais je n’ai osé. Annie se mord les lèvres. — Aïe, vas-y mollo, il est sensible. Je me fais plus léger. Pas plus de trente secondes. — J’aime autant quand tu vas fort. Faut savoir ce qu’on veut ! Ma Dame veut des sensations, j’y vais franco, elle se mord à nouveau les lèvres, probablement pour ne pas crier mais elle ne se dérobe pas pour autant. Au contraire, elle offre son bas-ventre au supplice… Une idée me traverse l’esprit. — Ça te plait d’être nue.— … hum… J’aime, gémit-elle. Je ne sais pas si c’est la branlette ou le fait d’être nue mais j’ai tendance à croire qu’elle aime les deux. Je poursuis la branlette avec encore plus d’ardeur. — Pourquoi on n’a jamais fait ça avant ? m’étonné-je surpris du plaisir que j’éprouve.— Je croyais pas que tu aimais et pis, t’as toujours peur de te faire remarquer. Là, elle marque un point, elle n’a pas tort. J’ai d’autres questions mais je m’abstiens. Je sens chez elle un soudain raidissement, la main qui boulonne est en même temps plus humide. Bientôt le soupir exhalé me donne quitus de mon pressentiment. Elle a joui. — C’était bon ! souffle-t-elle avant de s’emparer de mes lèvres pour un baiser d’enfer. Je n’ai pas chronométré mais à vue de nez – à cheval sur deux slows – on ne doit pas être loin du record de l’autre guignol. ...
... Ce n’est pas fini, Annie m’entraîne à sa suite. — Viens ! Nous sortons. À l’extérieur, la pénombre est plus épaisse, le ciel s’est couvert, une brise légère, agréable, chasse les miasmes, apportant un peu de fraîcheur bienvenue. Plus loin… Le grand portail d’entrée est fermé. Il condamne le passage vers le parc arboré où Annie pensait se réfugier… Les alentours ne sont pas moins déserts, juste moins discrets. Ils font malgré tout notre affaire, et m’acculant contre la grille de clôture, ma dame passe à l’action. Ses intentions sont limpides et ma queue dans sa main approuve tout à fait. Pourquoi juge-t-elle indispensable d’enlever sa robe ? Les pierres paraît-il, elles sont agressives pour le tissu, nous prenions appui sur le muret, support des grilles. Moi, je crois autre chose. — Je te connaissais pas ce côté exhibitionniste.— Il y a personne, observe-t-elle à juste titre. N’empêche, moi à sa place je n’aurais pas osé. Ce qui au demeurant ne change rien au fait que je suis aveugle ou bien qu’elle est sacrément dissimulatrice. Je lui en fais la remarque, elle me renvoie la balle. — Tu charries… Regarde-toi, en dehors de la maison t’es timoré comme pas deux, t’as peur de ton ombre, je me demande ce que tu dirais si je portais des jupes ras-la-moule ou bien si je me mettais à poil pour un oui ou pour un non. Oh ! Et puis c’est ridicule : j’ai trente-trois ans et deux enfants, j’en avais vingt-trois et aucun compte à rendre à personne quand j’étais avec Damien…— T’as raison, ...