Soirée à Versailles - Histoires de Sexe

Soirée à Versailles

... comme dans un miroir, c’est elle la bourgeoise qui se met à la place de la servante. Mes limites étant bien supérieures aux siennes, c’est moi la servante de l’histoire, la chatte à prendre sans vergogne. Je suis le sextoy qu’elle a offert à Monsieur pour la soirée et elle veut profiter du spectacle. Très bien, vous avez parfaitement commencé mon éducation, je me glisse dans mon rôle de chienne comme dans un gant. Décidément, si vous n’êtes pas physiquement présent, vous êtes pleinement à mes côtés dans mon esprit. Mon excitation s’en trouve décuplée. J’aurais laissé venir les choses si vous ne m’aviez pas dit d’offrir mon cul. J’ai honte vis-à-vis de vous de ne pas oser leur dire que je suis une soumise et que j’ai des instructions à respecter. À lui, j’aurais pu le glisser discrètement, mais elle, la soumise qui s’ignore, n’est vraiment pas prête à entendre ce genre de chose. J’aurais tellement aimé obéir à vos consignes à la lettre, je n’ose pas la choquer. Lui aurait adoré le savoir et se serait lâché encore davantage dans ses envies de mâle dominant, finie la douceur, j’en aurais pris pour mon grade. Je dois tout de même me faire prendre le cul. Je profite d’un moment où ils jouent ensemble sans s’occuper de moi, ce qui ne va pas durer, je sais que je vais passer à la vitesse supérieure. Je vais donc chercher dans mon sac le gel lubrifiant que j’ai apporté. Pendant leur jeu, ils ont commencé à me doigter le petit trou et l’un et l’autre. J’avais prévenu qu’on ne prend ...

... pas mon cul comme ça, il n’a pas l’habitude et un anus ça se dilate gentiment avant une sodomie. Je vois leur inexpérience, je vais les aider. À mon retour sur le canapé, les deux regards sont tournés vers moi, je vais leur offrir un petit spectacle qui va leur plaire, dommage je ne profiterai pas de leur avidité, si je ne peux pas la voir, je la devine. Je me positionne donc le cul bien en l’air comme vous aimez le voir, et je commence à introduire du gel dans mon cul que je suis bien décidée à desserrer pour l’occasion. Le sexe de Monsieur n’est pas très large, j’y vais sans crainte, je sais qu’il passera. Je commence par un doigt, puis deux et j’arrive à en mettre un troisième, j’essaie de les écarter comme je peux. Tout doucement j’arrive à le dilater sous leurs regards gourmands. Leurs mains se posent sur moi, j’ai fait le plus gros du boulot, à eux de jouer à présent. Monsieur me demande si j’ai envie de me faire sodomiser, j’ai envie de lui répondre que non, que j’ai plutôt envie d’aller faire de la broderie avec la voisine, mais une soumise ne dit pas ça, alors je réponds sagement : — Oui, si tu veux de mon cul. Bien sûr qu’il en a envie, et depuis le début de la soirée en plus, il ne se fait pas prier. Le temps qu’il finisse par avoir un préservatif au bout du sexe, mon petit cul s’est dangereusement resserré, il a beau y aller doucement, ça manque de lubrifiant et il m’arrache un cri de douleur suivi d’une série de : — Arrête, arrête, arrête, ça fait trop mal. Il ...