Soirée à Versailles - Histoires de Sexe

Soirée à Versailles

... comprend, se retire, et se souvient de mes explications sur la préparation, il attrape le gel et s’occupe de lubrifier et dilater. Mes cris de douleur ont excité Madame qui s’emploie à me caresser avec une débauche de douceur. Je me retire dans mes pensées, je me demande si mes cris vous auraient excité, si vous auriez résisté à la tentation de forcer le passage puisqu’il vous appartient. La deuxième fois est la bonne et là, je n’ai pas seulement droit à la plus douce et fluide sodomie de ma vie, je découvre une nouvelle sensation par leurs échanges complices sur mon corps. Pendant quelques instants Monsieur et Madame vont laisser parler leur corps en parfaite connivence, et agir avec naturel pour mon plus grand plaisir. Je cherche le terme adéquat pour décrire ce que je ressens, je dirais sucré/salé, c’est la meilleure comparaison que j’arrive à trouver. Il a fini par enfoncer sa bite dans mon cul complètement à fond, et je sens ses couilles taper contre ma chatte, il est doux et ferme à la fois. Il se lâche et me met une claque sur les fesses, je ne dis rien, j’en prends une autre un peu plus forte, puis une troisième de Madame qui jusque-là se comportait comme si elle me consolait et me maintenait captive par sa douceur des sévices, qui n’en étaient pas, de Monsieur. Comme elle me fesse, lui redevient doux, puis à nouveau me claque le cul, en me disant qu’il est bon (mais il pense trop fort qu’il est en train de défoncer un bon gros cul de salope. « Tu aimes ça, sale ...

... chienne », me dirait-il, s’il osait). Ce fut mon leitmotiv intérieur de la soirée, ah s’ils osaient ! Mon Maître lui oserait. En tout cas, pour moi, les sensations partent dans tous les sens, je ne sais plus à quoi m’attendre, qui va fesser, qui va caresser, quand, ensemble ou séparément. Je gémis de volupté, puis je laisse sortir mes cris de plaisir… Je voudrais que ça dure encore longtemps, mais Monsieur pense qu’il va jouir, et il est bien décidé à l’avoir son éjaculation faciale. Sauf qu’à trop retarder son éjaculation quand on ne maîtrise pas la technique, on n’y arrive pas. Frustrée de cette sodomie pas assez longue, je lâche l’affaire et regarde de près Madame s’acharner sur le membre raide mais fatigué. Je m’assois sur un fauteuil pour boire un verre d’eau. Fin du deuxième round. Pause café, on reprend nos papotages, je commence à avoir un petit creux et termine les biscuits salés, je m’autorise même une cigarette. Je rassure Monsieur, il ne s’agit pas d’une panne mais d’une fatigue passagère, j’ai la flemme de partager mes connaissances et de lui expliquer précisément pourquoi il reste dur mais n’éjacule pas. Je passerai plus rapidement sur le troisième et dernier round. Monsieur déclarera forfait pour le quatrième à l’hôtel après un petit déjeuner commun et de s’autorisera pas à finir la nuit dans mon cul. Madame le surveille, et si elle se prétend pas jalouse, elle ne me laissera pas seule avec lui plus de quelques secondes. Le début du dernier assaut est très long, ...