Maud
Datte: 10/06/2018,
Catégories:
fh,
ff,
jeunes,
fépilée,
noculotte,
Masturbation
intermast,
Oral
pénétratio,
uro,
bourge,
Après ma romance avec Béa, et une période de solitude un peu triste, je me remis à mes études qui, heureusement, me passionnaient. Les inévitables soirées estudiantines me permettaient également de garder le contact avec le beau sexe. J’eus, durant cette période quelques aventures sans lendemain. Puis je tombai, au cours d’une manifestation culturelle sur Mireille. C’était une fille assez mignonne, de taille moyenne, avec des cheveux mi-longs, et… une poitrine à vous couper le souffle ! J’avais remarqué, au cours de ladite manifestation, qu’elle repoussait un garçon d’une manière violente en lui disant : — Dis-donc, espèce de vicelard, veux-tu bien garder tes sales pattes chez toi ? Non mais, pour qui ça se prend ? Tous les mêmes, ces mecs. Tout juste intéressés par notre corps. Je ne sais ce qui se passa dans ma tête à ce moment-là, mais j’eus brusquement envie d’elle. Mon « approche », suite à ce que je venais d’observer, fut prudente. Je m’arrangeai pour engager la conversation, d’une façon très « sage ». De fil en aiguille nous fîmes plus ample connaissance et j’osai lui proposer de dîner avec moi. Ce qu’elle accepta avec un sourire qui acheva de me conquérir. Nous nous sommes revus durant plusieurs semaines et nous devenions de plus en plus intimes. Un soir, dans le bar du « Cercle des Ingénieurs », où je l’avais invitée pour une soirée (une de plus), et tandis que nous étions assis un peu à l’écart des autres, je me permis de lui passer le bras autour des épaules. ...
... Elle ne se déroba pas, mais tourna sa tête vers moi et me sourit. Je rapprochai mes lèvres des siennes et l’instant suivant nous nous laissions enivrer par notre premier baiser. Ce fut très « chaste », mais délicieux. — Viens, lui dis-je, sortons. Je voudrais marcher un peu. Je pris congé de mes potes et nous nous dirigeâmes vers la sortie. Je crus sentir dans mon dos une dizaine de regards envieux et frustrés. Ce fut une promenade merveilleuse dans les ruelles de la cité universitaire. Tous les dix pas, nos têtes se rapprochaient pour un petit bisou tendre. Je la raccompagnai jusqu’à la porte de son kot * et lui donnai un dernier baiser. Nos lèvres se joignirent et je sentis qu’elle avait légèrement écarté les dents. Ma langue s’insinua doucement dans sa bouche et rencontra la sienne. Les pointes se titillèrent quelques instants et quand nos bouches se séparèrent, Mireille se serra brusquement tout contre moi. Je pouvais sentir la pointe de ses seins sur ma poitrine. Par la même occasion, elle avait joint ses mains dans mon dos, à la hauteur des reins, et pressé son bas-ventre contre le mien. J’eus un instant de panique car j’avais une érection du tonnerre et elle ne pouvait pas manquer de la sentir. Mais sa réaction me rassura car elle me dit en souriant : — Eh bien, on dirait que je te fais de l’effet ?— Mireille, excuse-moi, mais c’est plus fort que moi. Je te demande pardon.— Mais, grand bêta, je ne t’en veux pas ! C’est plutôt flatteur pour moi ! Sur ces paroles, elle se ...